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Comment voyager de manière éco-responsable ?
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Comment voyager de manière éco-responsable ?

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Femme voyageant avec une valise
L’éco-tourisme est un tourisme axé sur la nature, où l’on voyage pour observer et apprécier les milieux naturels et les cultures locales (source : ONU Tourisme).
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2025-05-21T00:00:00.000Z
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D’après Parks et al., (2009), l’écotourisme a été considéré comme un voyage éducatif basé sur la compréhension de la culture de la population locale et la sauvegarde de l’écosystème tout en produisant un bénéfice économique pour la zone visitée (source : Cairn, 2018). 

Définition de l’écotourisme selon l’ONU

L’Organisation des Nations Unies (ONU) est active au sujet du tourisme avec une branche active dans le domaine de l’écotourisme depuis les années 1990. C’est cette même organisation qui a défini l’écotourisme comme : 

La représentation de toutes les formes de tourisme axées sur la nature et dans lesquelles la principale motivation du touriste est d'observer et d'apprécier la nature ainsi que les cultures traditionnelles qui règnent dans les zones naturelles. Il comporte une part d'éducation et d'interprétation (source : ONU Tourisme). 

En opposition au tourisme de masse, l’écotourisme se distingue par une approche où le voyage ne constitue pas une fin en soi, mais devient une invitation à la contemplation, à l’appréciation de son environnement et à la sensibilisation aux enjeux socio-environnementaux. 

Aujourd’hui, le tourisme contemporain est parfois perçu comme une forme de colonisation moderne, tant il extrait les ressources et s’approprie l’identité culturelle de territoires sans offrir de réelle contrepartie aux écosystèmes locaux. Le visiteur devient spectateur d'un décor dont il altère paradoxalement l'essence même qu'il était venu contempler mais qui paradoxalement ne s'attarde jamais assez pour en saisir la complexité. L'expérience fugitive du voyageur prime parfois sur l'équilibre des lieux et des communautés qui les habitent.

Il y a un équilibre à trouver entre intérêts écologiques et socioéconomiques, et entre communautés et intervenants extérieurs (agences de tourisme, autorités publiques étatiques, organisations de protection de l’environnement non locales) (OpenEdition Journals, 2015).

L’OMT (Organisation Mondiale du Tourisme) définit ainsi l’écotourisme comme une pratique englobant toutes les formes de tourisme écoresponsable, c’est-à-dire celles (source : ONU Tourisme) : 

  • étant axées sur la nature et dont la principale motivation du touriste consiste à observer et à apprécier la nature ainsi que les cultures traditionnelles qui règnent dans les zones naturelles ;
  • comportant une part d’éducation et d’interprétation dans une logique de préservation et de valorisation de l’environnement ;
  • étant organisées par des professionnels (majoritairement de petites entreprises locales) à destination des groupes restreints ;
  • limitant les impacts négatifs sur l’environnement naturel et socioculturel ;
  • favorisant la protection des zones naturelles utilisées comme attractions écotouristiques.

Quel est l'objectif clé de l'écotourisme ?

L’écotourisme poursuit avant tout l’ambition de ne laisser qu’une empreinte légère sur l’environnement naturel et le patrimoine culturel, tout en œuvrant à leur sauvegarde et à leur mise en valeur (source : Cairn, 2018).

Contrairement au tourisme habituel, le voyageur ici est amené à s’éduquer à propos de la nature, de la culture locale et de l’Homme – tout en limitant l’impact négatif de son séjour (notamment en termes d’émission de gaz à effet de serre). De plus, son voyage doit permettre de contribuer à (source : OpenEdition Journals, 2006) :

  • la protection et la valorisation du patrimoine naturel et culturel,
  • l’éducation des touristes et des autochtones,
  • l’appropriation de l’activité par la population locale,
  • au bien-être social et économique de la population locale
  • et se déroule dans le cadre de petits groupes, pour limiter les impacts.

Qu’est-ce qu’une charte d’écotourisme ?

Une charte d'écotourisme est un document qui établit les principes, engagements et bonnes pratiques pour développer un tourisme respectueux de l'environnement et bénéfique aux communautés locales

En France, de nombreuses régions proposent des chartes d'écotourisme afin que les professionnels volontaires du secteur (opérateurs touristiques, autorités, gestionnaires d'espaces naturels) – respectent certains standards.

Une charte d’écotourisme comporte généralement plusieurs volets : environnemental, social, et de gouvernance bien que les prérequis peuvent différer d’une région à une autre, selon les caractéristiques et impératifs de la région (e.g. la régulation du bivouac dans les Alpes ou des feux de camp).

Cinq étapes pour réellement faire de l’écotourisme

1. Rêver grand en voyageant près de chez vous

L'écotourisme se base sur l'idée de visiter en petits groupes des endroits naturels souvent délaissés par le tourisme de masse et hors des périodes de vacances conventionnelles. Il y a donc un double avantage pour les visiteurs et les lieux qu'ils visitent :

  • découvrir des lieux insoupçonnés ;
  • moindre pression sur l’environnement et les populations locales ;
  • éviter l’afflux de touristes.

À l’opposé d’un réflexe ancré qui consiste à chercher l’épanouissement dans des contrées lointaines, il est tout à fait possible de vivre un véritable dépaysement sans s’éloigner de chez soi. C’est tout le principe du staycation ou de la microaventure. 

Le terme staycation est un mot-valise né de la contraction des mots anglais “stay” (rester) et “vacation” (vacances). Il désigne une manière de voyager sans vraiment partir, en redécouvrant son environnement proche — voire en s'offrant une parenthèse chez soi. Popularisé ces dernières années, le concept a donné naissance à de nombreuses offres commerciales, à l’image de la start-up française Staycation, qui propose de réserver des séjours dans des hôtels… à deux pas de chez soi.

L’aventure se trouve à chaque coin de rue ! Alastair Humphreys 

C’est sur cette affirmation que repose le concept de microaventure popularisé par Alastair Humphreys. Lancée en 2012 par l’aventurier anglais, la microaventure est une tendance à présent en vogue. Pour mieux faire comprendre sa démarche, ce Britannique de 42 ans a publié un manifeste, dans lequel il propose des dizaines d’idées de micro-aventures accessibles à tous. Parmi elles : monter dans un train au hasard pour revenir à vélo, rejoindre sa famille à pied pour Noël, ou encore bivouaquer sur une colline proche de chez soi...

Un changement de perspective qui invite à vivre différemment, à la faveur d’un changement d’état d’esprit profond — et d’une nouvelle façon de s’épanouir.

2. Redécouvrir la lenteur en adoptant un transport bas-carbone

Le transport représente 69% de l'empreinte carbone du secteur du tourisme, et le transport aérien 29% à lui seul (source: ADEME, 2024).

Voyager écoresponsable ne peut se faire sans voyager avec un mode de transport bas-carbone. Un transport bas-carbone désigne un mode de déplacement qui émet peu de gaz à effet de serre (GES) – et inclut notamment la marche, le vélo, les transports en commun, ou les véhicules électriques...

Pour une question de rapidité, la plupart des déplacements se font en voiture ou en avion. Pourtant, l’empreinte carbone de l’avion, autant que l’impact environnemental de la voiture thermique sont loin d’être bas-carbone. 

À titre d’exemple, voyager en train pollue 8 fois moins que la voiture et 14 fois moins que l'avion, selon l’ADEME (source : ADEME, 2025). 

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Avion décollant dans le ciel

Au-delà de leur faible impact environnemental, les mobilités bas-carbone offrent une réappropriation existentielle de notre rapport au monde : elles incarnent un refus de l’accélération constante qui rythme notre vie moderne. Ralentir devient alors un double bénéfice — bon pour la planète, mais aussi pour nous. Car c’est en voyageant plus lentement que l’on apprend à mieux se connaître, à mieux rencontrer les autres, et à redécouvrir ce qui nous entoure. 

En panne d'idées pour un voyage à faible empreinte carbone ? Consultez notre guide pour voyager sans avion en 2025 !

Enfin, à noter que lorsqu'un trajet en avion est inévitable, les voyageurs peuvent compenser les émissions de leur vol en finançant des projets de réduction, de séquestration ou de capture du carbone. Toutefois, selon Carbone 4 (2024), la contribution carbone reste peu efficace pour lutter réellement contre le changement climatique, et manque souvent de transparence quant aux projets soutenus et aux labels attribués (source : Carbone 4, 2024).

3. Privilégier des hébergements écoresponsables

Sélectionner un logement authentique et écoresponsable est une étape essentielle pour garantir un séjour véritablement responsable. Ces espaces d'hébergement ne se contentent pas de garantir un confort, ils reflètent souvent l'esprit d'une région ou de valeurs.


Pour identifier les établissements réellement engagés, orientez-vous vers ceux arborant des certifications reconnues telles que l'Écolabel européen, Green Globe ou La Clef Verte. Ces labels garantissent des pratiques concrètes : systèmes de chauffage optimisés, approvisionnement local et bio, textiles écologiques, gestion rigoureuse des déchets et de l'eau. 

Certains hébergements vont plus loin en proposant des expériences insolites (cabanes perchées, yourtes, tiny houses) conçues selon des principes bioclimatiques – c’est-à-dire pensées pour tirer parti des conditions naturelles (ensoleillement, ventilation, isolation) d’un lieu afin de minimiser leur consommation d’énergie.

Afin de vous aider à trouver des hébergements écoresponsables, des organisations de voyage en tourisme durable telles que Chilowé, Explora Project ou WeGoGreenR offrent une sélection d’établissements véritablement engagés.

À contrario, soyez vigilant aux hébergements non certifiés qui prétendent un engagement écologique, mais qui n'ont mis en place aucune action écoresponsable – une pratique trompeuse connue sous le nom de greenwashing.

4. Faire sa part même lorsque l’on est en voyage

Le dépaysement ne devrait jamais justifier l'abandon d'une conscience écologique ; au contraire, il exige un redoublement de vigilance.

Les destinations explorées sont aussi confrontées à leurs propres défis environnementaux et sociaux. Pourquoi alors ne pas enrichir son expérience de voyage par des activités à impact positif ? Observer la biodiversité locale avec un guide naturaliste, visiter un sanctuaire de protection animale, ou consacrer quelques heures à une action collective de nettoyage transforme notre présence en contribution concrète.

Si voyager implique inévitablement une empreinte carbone significative, notamment due au transport, cela devrait nous inciter à compenser par un comportement exemplaire sur place plutôt qu'à suspendre notre éthique environnementale. Le véritable voyageur n'est pas celui qui consomme un lieu, mais celui qui l'honore par ses actions.

5. Interagir avec la population locale et comprendre leurs enjeux

Finalement, l’objectif de l'écotourisme est de s’immerger dans une nouvelle culture sans laisser la moindre trace de son passage.

Même en voyage, notre responsabilité environnementale ne s'évapore pas avec le changement de paysage. Un document intitulé Charte éthique du voyageur nous guide sur cette question et précise qu'un voyageur doit, avant, pendant et après son périple (source : Agir pour un tourisme responsable) :

  • s’informer sur les habitants et leur mode de vie, le patrimoine, la religion, l’économie et l’environnement ;
  • ne pas imposer ses habitudes ni son style de vie ;
  • ne pas prélever de souvenirs dans les sites naturels et archéologiques ;
  • prendre conscience des vertus du tourisme (économiques, sociales, culturelles et environnementales) tout en encourageant la protection du patrimoine.

Autre point essentiel : chaque voyageur devrait veiller à avoir un impact positif sur les populations locales. Cela passe notamment par le respect du mode de vie sur place, sans en perturber l’équilibre, et par des choix concrets qui soutiennent l’économie locale, comme ceux-ci :

  1. en privilégiant de petits hébergeurs aux gros complexes hôteliers ;
  2. en mangeant dans des restaurants traditionnels, locaux et utilisant des produits de saison pour booster l’économie locale et s’imprégner de la culture ;
  3. en participant à des activités (balades, visites, ateliers ou expériences immersives, etc.) proposées par des guides ou acteurs du territoire ;
  4. en achetant des souvenirs artisanaux et locaux authentiques.

En définitive, l’argent dépensé doit servir aux habitants et aux petits commerces.

Quelles sont les villes qui adoptent l’éco-tourisme en France ? 

Si le célèbre classement Forbes a désigné en 2022 les dix destinations les plus durables de France en s'appuyant sur des agglomérations de taille plus ou moins grandes — parmi lesquelles Nantes, Angers, Lyon, Strasbourg, Carcassonne, Aix-en-Provence ou encore Montpellier (source : Forbes, 2022) —, il convient aussi de rappeler que les territoires véritablement durables sont bien souvent ceux qui échappent aux foules.

Loin du tourisme de masse, l’écotourisme prend tout son sens dans des expériences plus discrètes, mais tout aussi riches : une randonnée en bivouac dans les Alpes, un périple culturel et sportif à la découverte des châteaux de la Loire à vélo, ou encore une escapade dans les villages traditionnels d’Alsace comme Zellenberg, Riquewihr, Ribeauvillé... Là, au détour d’une ruelle ou d’un coteau, on peut facilement rencontrer un viticulteur local et déguster un vin biologique, empreint du terroir et d’un véritable savoir-faire.

NB : En France, le label "Qualité Tourisme", instauré en 2005, permettait d’identifier les établissements engagés dans une démarche de qualité, notamment en matière de tourisme durable. Ce label est désormais appelé à disparaître, progressivement remplacé par le nouveau label Destination d'Excellence, qui vise à garantir et valoriser la qualité des prestations touristiques sur l’ensemble du territoire.

Pour consulter la liste complète des établissements encore labellisés "Qualité Tourisme", il est possible de se rendre sur la page dédiée à cet effet.

Quels sont les exemples de destinations d’écotourisme ?

Il existe actuellement de nombreux exemples de destinations d'écotourisme, mais lesquelles sont véritablement authentiques ?

Quelle destination d’écotourisme en Europe ? 

En Europe, on trouve une multitude de lieux d'écotourisme accessibles par des moyens de transport doux. D'après le Lonely Planet, voici quelques exemples de lieux écotouristiques en Europe (source : Lonely Planet, 2018) : 

  • Louvain-la-Neuve, en Belgique, est reconnue comme “ville verte” grâce à son accessibilité, son dynamisme culturel et ses infrastructures adaptées – notamment pour circuler à vélo ;
  • les parcs nationaux de la Slovénie (en Slovénie, 60% des terres sont protégées) ;
  • le parc national de Soomaa en Estonie, qui depuis 1993, se consacre entièrement à l'écotourisme…

À noter que toutes ces destinations portent le label européen EDEN - Destinations Européennes d'Excellence. Le label EDEN (European Destinations of Excellence) a été mis en place par la Commission européenne dans le but de favoriser un tourisme durable à travers l'Europe. De plus, chaque année, ce label publie une liste de destinations gagnantes en matière d'éco-responsabilité.

En 2023, quatre villes européennes - Grevena, Kranj, Larnaka et Trikala - ont été sélectionnées parmi une vingtaine de candidates pour leurs initiatives en faveur du développement durable. Elles ont réussi à persuader un panel d'experts indépendants grâce à la qualité de leur engagement (source : Commission Européenne, 2022).

Le Costa Rica, une destination par excellence pour un voyage éco-responsable ?

Le Costa Rica comme paradis politique et paradis écologique, telles sont les deux composantes majeures d’un imaginaire touristique qui a fait de ce petit pays de 51 100 km2 et de 4,6 millions d’habitants, une puissance touristique régionale avec plus de deux millions de visiteurs chaque année (source :  Cairn, 2016).

Le Costa Rica fait figure de proue lorsque l’on parle d'écotourisme. Il faut dire que depuis les années 1970, ce petit État a musclé petit à petit sa législation tout en développant parallèlement sa capacité d'accueil pour les touristes. Aujourd’hui, le pays compte vingt-sept parcs nationaux et tire l’essentiel de son électricité des énergies renouvelables. Un moratoire interdit en outre toute forme d’exploitation et d’exploration pétrolière sur son territoire (source : France Inter, 2021). 

La liste des engagements environnementaux du Costa Rica est aussi longue que impressionnante. Pour autant, cela ne suffit pas à en faire, par essence, une destination écoresponsable.

À bien y regarder, le Costa Rica n’a parfois de vert que sa communication. Car pour rejoindre ce paradis tropical, nul autre choix que de prendre l’avion. L’empreinte carbone des vols long-courriers nécessaires depuis l’Europe ou l’Amérique du Nord — d’où provient la majeure partie des visiteurs — vient sérieusement annuler le bénéfice écologique d’un tourisme dit responsable.

Par ailleurs, le flot de visiteurs met à rude épreuve la capacité d'accueil de certaines régions, tels que les parcs nationaux. À titre d'exemple, le Parc National Manuel Antonio sur la côte pacifique qui, durant la saison haute, recevait jusqu'à 1000 personnes quotidiennement (source : OpenEdition Journals, 2006).

Un autre problème majeur : la gestion des eaux résiduaires et des déchets au Costa Rica représente toujours un défi qui n'a pas évolué en concordance avec l'essor touristique. 

Aujourd’hui, seulement environ 15,5 % des eaux usées collectées sont traitées d’une manière ou d’une autre au Costa Rica — un chiffre largement inférieur à ce qu’on observe dans d’autres pays (source : OECD, 2023).

Une destination qui affiche de belles promesses en matière de tourisme responsable, mais dont certaines zones d’ombre empêchent encore d’être pleinement à la hauteur de l’image écoresponsable qu’elle s’efforce de projeter.

Bibliographie

Écotourisme et zones protégées, ONU Tourisme, https://www.unwto.org/fr/sustainable-development/ecotourism-and-protected-areas

Quelle place donnent les professionnels du secteur de l’écotourisme à la cocréation avec les clients ?, Cairn, 2018, https://shs.cairn.info/revue-rimhe-2018-2-page-80?lang=fr

Tourisme de développement durable, ONU Tourisme, https://www.unwto.org/fr/tourisme-developpement-durable

Écotourisme : une brève introduction, OpenEdition Journals, 2015, https://journals.openedition.org/elohi/pdf/454

La charte éthique du voyageur, Agir pour un tourisme responsable, https://www.tourisme-responsable.org/charte-ethique-du-voyageur/

La fabrique circulatoire d’un patrimoine national ou la coproduction de la nature au Costa Rica, Cairn, 2016, https://shs.cairn.info/revue-autrepart-2016-2-page-257?lang=fr

Costa Rica, l'or vert menacé, France Inter, 2021, https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/grand-reportage/costa-rica-l-or-vert-menace-8739526

Un bilan des enjeux et impacts de l'écotourisme au Costa …, OpenEdition Journals, 2006, https://journals.openedition.org/etudescaribeennes/263

Examens environnementaux de l'OCDE : Costa Rica 2023, OECD, 2023, https://www.oecd.org/content/dam/oecd/fr/publications/reports/2023/10/oecd-environmental-performance-reviews-costa-rica-2023_b60596af/4de36769-fr.pdf

8 destinations de tourisme durable à découvrir en Europe, Lonely Planet, 2018, https://www.lonelyplanet.fr/article/8-destinations-de-tourisme-durable-decouvrir-en-europe

Idées voyage pour les Fêtes | Découvrez le top 10 des destinations les plus durables en Idées voyage pour les Fêtes | Découvrez le top 10 des destinations les plus durables en France, Forbes, 2022, https://www.forbes.fr/classements/decouvrez-le-top-10-des-destinations-les-plus-durables-en-france-nantes-angers-lyon-au-firmament/

Journée mondiale du tourisme – Bilan des émissions de GES …, ADEME, 2024, https://www.ademe.fr/presse/communique-national/journee-mondiale-du-tourisme-bilan-des-emissions-de-ges-du-secteur-du-tourisme-en-france/

 Quels transports pour nos envies d’ailleurs ?, 2025, ADEME, https://agirpourlatransition.ademe.fr/particuliers/conso/vacances/transports-envies-dailleurs

Compensation carbone : une proposition inefficace et dangereuse, Carbone4, 2024, https://www.carbone4.com/news-compensation-carbone-tribune-carbone-4