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Quelle est l'empreinte carbone de l'industrie du tabac ?
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Quelle est l'empreinte carbone de l'industrie du tabac ?

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Femme tenant une cigarette dans sa main
Une cigarette émet 14 grammes de CO₂e sur la totalité de son cycle de vie. La fumée rejette majoritairement du CO₂, du méthane et de l'oxyde nitreux.
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2025-05-22T00:00:00.000Z
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Chaque année, la production, la transformation et le transport du tabac émettent 84 millions de tonnes de CO₂ équivalant à celle de 17 millions de voitures diesel circulant pendant un an (source : Commissariat général au développement durable, 2023).

Responsable chaque année de plus de 8 millions de décès – dont 7 millions sont des consommateurs ou d’anciens consommateurs et 1,2 million sont des non-fumeurs exposés à la fumée –, l'Organisation mondiale de la Santé considère l'épidémie de tabagisme comme l'une des plus grandes menaces pour la santé publique à laquelle le monde ait jamais été confronté (source : Statista, 2024). Outre les effets indiscutables sur la santé humaine, le secteur du tabac utilise des terres et de l'eau qui sont pourtant indispensables à d'autres besoins plus essentiels. 

L'industrie du tabac : comment fonctionne-t-elle ?

Le tabac provient des feuilles d’un arbuste tropical, le Nicotiana tabacum, cultivé principalement en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie. 

Après la récolte, les feuilles de tabac sont mises à sécher, généralement dans de grands fours chauffés au bois ou au charbon — un procédé très courant dans les pays producteurs. À noter que les principaux producteurs de tabac sont en tête la Chine, puis l’Inde et enfin le Brésil (source : Statista, 2024). Ensuite vient l’étape du séchage, afin de conserver les propriétés des feuilles avant transformation. Puis, le tabac est « expansé », c’est-à-dire traité au dioxyde de carbone sous haute pression pour gonfler les feuilles avec de l’air. Ce procédé permet d’utiliser moins de tabac par cigarette, réduisant ainsi les coûts de production, mais il est très énergivore. Le tabac est ensuite roulé, emballé (papier, aluminium), puis expédié à l’échelle mondiale (source : Reporterre, 2022).

Les premières cigarettes produites en usine font leur apparition en 1830, tandis que la première machine à produire du tabac est introduite en 1843. Cependant, sa popularité ne se manifeste qu'après la Seconde Guerre mondiale. La toxicité de ce produit est révélée en 1950 par plusieurs recherches épidémiologiques, menant à l'introduction des filtres au cours de la même année. En dépit de ces données scientifiques, les producteurs ont conçu une vaste sélection de produits, dont plusieurs sont spécifiquement destinés à diminuer l'usage de leur produit vedette.

Après la cigarette électronique, le dernier gadget en date connaît les faveurs des plus jeunes. La « puff », une cigarette électronique jetable au prix très accessible et aux goûts divers et variés, qui contient en partie de la nicotine. Interdite en France d’après la loi n° 2025-175 du 24 février 2025 – la France devient alors le deuxième État européen, après la Belgique, à interdire la commercialisation des puffs sur son territoire pour des raisons écologiques évidentes mais aussi de santé publique (source : Vie publique, 2025).

Aujourd'hui, on dénombre quatre grandes sociétés transnationales productrices de tabac du monde, que l’on surnomme les « Big 4 » ou « Big Tobacco » :

  1. Philip Morris International (PMI) ;
  2. British American Tobacco (BAT) ;
  3. Japan Tobacco International (JTI) ;
  4. Imperial Brands.
La production de tabac brut est toujours une industrie gigantesque. Rien qu'en 2022, environ 5,8 millions de tonnes de tabac ont été produites dans le monde, dont près d'un tiers en Chine (source : Statista, 2024), en ce qui concerne la France, la vente tend à décroître de plusieurs années, phénomène qui s'explique en partie par l'augmentation progressive du paquet de cigarette (source : Statista, 2025).

Quels sont les impacts environnementaux de l’industrie du tabac ?

Les multiples impacts environnementaux qui découlent de l’industrie du tabac sont légion. 

Selon un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publié en 2022, « Le tabac : un poison pour notre planète », chaque étape de la filière, de la production à la consommation, a un impact négatif sur l’environnement.

Les dégâts provoqués par l’industrie du tabac en chiffres

Les principaux impacts sociaux et environnementaux liés à l’industrie du tabac sont (source : OMS, 2022) :

En ce qui concerne les chiffres, et toujours selon le rapport de l’OMS « Le tabac : un poison pour notre planète », chaque année, l’industrie du tabac est à l’origine de :

  1. l’émission de plus de 84 millions de tonnes de CO₂e (pour vous aider à visualiser l’impact du tabac, 84 millions de tonnes de CO₂e correspondent à 280 000 lancements de fusées dans l’espace) ;
  2. l’utilisation de 22 milliards de tonnes d'eau chaque année rien que pour la production du tabac ;
  3. la production d’environ 2 millions de tonnes de déchets d'emballages ;
  4. la destruction de 600 millions d’arbres, représentant 5 % de la déforestation annuelle mondiale (à titre d’information, un arbre permet la fabrication de 300 cigarettes) ;
  5. l'accaparement de 200 000 hectares de terres

Enfin, bien que la production, la transformation et le transport du tabac soient généralement responsables de l'essentiel de ces impacts, le consommateur lui-même contribue fréquemment à un impact environnemental défavorable. En ce qui concerne la phase d'usage, donc celle qui relève de la responsabilité de l'utilisateur, un mégot abandonné sur le sol est à l'origine d'une pollution environnementale significative :

Chaque année, en France, on estime à 40 milliards le nombre de mégots qui sont jetés par terre et selon un rapport de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les mégots représentent 30 à 40 % des déchets ramassés sur les plages et dans nos villes (source : Chimirec).

Et l’impact d’une seule cigarette alors ?

Ainsi, chaque phase du cycle de vie d'un mégot entraîne une pollution. Si l'on réduit ces valeurs colossales à la dimension d'une simple cigarette, toujours en se basant sur le rapport de l'OMS (2022), l'empreinte carbone d'une seule cigarette correspond en moyenne à :

  • l’accaparement de 3,7 litres d’eau ;
  • la consommation de 3,5 grammes de pétrole ;
  • l’émission de 14 grammes de CO₂e sur la totalité de son cycle de vie ;
  • et, lorsque jeté dans la nature, génère une pollution d’environ 500 litres d’eau (source : Centre d'information sur l'eau, 2019).

Enfin, très souvent oublié du débat, un mégot de cigarette peut être à l’origine de nombreux incendies. 

Le coût humain et environnemental des accidents causés par un mégot est considérable. Entre 2003 et 2008, 30 000 incendies par an ont été déclenchés à cause de la cigarette en France (source : generationsanstabac.org, 2020).

Au-delà des dommages irréversibles causés aux écosystèmes brûlés, un incendie libère une grande quantité de gaz à effet de serre, car la combustion des arbres et de la végétation relâche le carbone qu’ils stockaient dans l’atmosphère.

‍La culture du tabac est très gourmande en ressources 

La culture du tabac est à l’origine de 5 % de la déforestation mondiale. La cigarette électronique, elle, accroît la pression sur les matières premières critiques, comme le lithium, le cobalt ou le cuivre (source : Le Monde, 2023).

En pratique, le secteur du tabac consomme de manière significative des ressources naturelles telles que les terres agricoles, l'eau et l'énergie afin de produire un produit qui n'est pas nécessaire pour l'homme et qui nuit à sa santé :

  • des terres agricoles, et selon une étude menée par l’Imperial College de Londres en 2018, une tonne de tabac nécessite 1 300 mètres carrés pour pousser convenablement. À titre de comparaison, une telle surface pourrait être utilisée pour une exploitation agricole produisant six tonnes de tomates, avec un Bilan Carbone® bien plus favorable ;
  • de l'eau associée à une consommation élevée destinée à l'irrigation ;
  • des pesticides (en grande quantité) et des engrais chimiques ;
  • de l’énergie (pour le séchage du tabac, souvent bois ou charbon) ;

À cet accaparement de ressources — au détriment d’usages plus utiles à la société — s’ajoute la pollution directement issue de cette même production.

L’industrie du tabac, coupable de pollutions multiples et persistantes

Chaque année, 4,5 trillions de mégots de cigarettes sont jetés dans la nature, ce qui représente 2 millions de tonnes de déchets d’emballage par an (source : Libération, 2022). 

Selon le Dr Ruediger Krech, Directeur du Département Promotion de la santé à l'OMS, les mégots de cigarette, comme tous les autres déchets, sont regrettables si on considère qu'ils renferment plus de 7 000 substances chimiques nocives. Le problème concerne la seconde plus grande source de pollution plastique à l'échelle mondiale : les filtres en acétate de cellulose contenus dans les cigarettes (un matériau non biodégradable).


Ainsi, un filtre de cigarette libère des substances nocives : la cellulose acétate libère également dans les écosystèmes de la nicotine, des métaux lourds et d'autres produits chimiques absorbés, qui se propagent dans l'eau. En se dégradant progressivement, il libère ces substances polluantes et a le potentiel de contaminer des centaines de litres d'eau.

Les milieux aquatiques, tels que rivières, lacs et eaux destinées à la consommation humaine, se retrouvent ensuite contaminés par les produits chimiques qui s'échappent. Les terres destinées à la culture du tabac perdent alors leur capacité de production pour d'autres cultures, telles que les aliments, car le tabac contamine les rivières et réduit la fertilité du sol.

L’impact social de l’industrialisation du tabac

Le tabac est cultivé dans des pays à revenu faible ou intermédiaire (en Amérique latine, en Asie du Sud et de l’Est, etc.) dont les ressources vitales sont déjà compromises par le réchauffement climatique.

De plus, cette culture très gourmande en ressources, nécessite une utilisation intensive de pesticides et d’engrais, ce qui contribue à la dégradation des sols et à des risques de santé pour l’Homme. 

Le tabac est nocif pour les agriculteurs qui le manipulent, les exposant aux pesticides chimiques et à la fumée de tabac, ce qui entraîne des affections pulmonaires chroniques et un empoisonnement à la nicotine (source : Statista, 2024). 

À cela s’ajoutent les coûts économiques liés au traitement des nombreuses maladies causées par le tabac chez les consommateurs. Ces dépenses mobilisent des budgets publics considérables, qui ne peuvent alors être réaffectés à des domaines essentiels comme la prévention, la recherche médicale ou d’autres priorités sociales.


Quant aux travailleurs du tabac, il s’agit souvent des familles incluant des enfants, piégés dans un cycle d'exploitation économique – recevant des salaires dérisoires – tout en risquant la "maladie du tabac vert", causée par l'absorption de nicotine à travers la peau lors de la récolte des feuilles humides.

Les populations les plus démunies compromettent ainsi leur santé pour cultiver un produit qu'elles n'ont souvent pas les moyens de se procurer, tout en enrichissant considérablement les grandes entreprises du tabac. Ces dernières, à leur tour, ciblent les marchés émergents avec des stratégies marketing agressives en produisant une substance qui empoisonnera d'autres individus vulnérables, perpétuant ainsi un cycle d'exploitation.

La morale est sans équivoque : l’industrie du tabac prospère en exploitant la pauvreté à une extrémité de sa chaîne de production, tout en créant délibérément une dépendance mortelle à l'autre bout – une double exploitation dont les bénéfices reviennent principalement aux actionnaires des multinationales du tabac.

La face cachée de l'industrie du tabac : son lobbying 

Les cigarettiers savent depuis des décennies qu’inoculer efficacement l’addiction au tabac aux adolescents assure pour la vie la fidélité des fumeurs (source : Cairn, 2018). 

L’industrie du tabac se divise donc entre plusieurs acteurs : les cultivateurs de tabac, les transformateurs de tabac ou encore les vendeurs de leurs produits. Autrement dit, cette industrie, et par extension, son lobbying est extrêmement puissant

L'industrie du tabac a développé un système de lobbying efficace reposant sur quatre piliers : des associations professionnelles présentant une image respectable, des cabinets de lobbying dirigés par d'anciens décideurs politiques, des instituts de recherche créant une fausse controverse scientifique, et des alliances stratégiques avec d'autres secteurs économiques.

Selon les données publiées début juillet par le ministère de la santé, l'industrie du tabac a déclaré 805 992,55€ de dépenses relatives à des activités d'influence ou de représentation d'intérêts, soit 13% de plus par rapport à 2022 (source : generationsanstabac.org, 2024).

Ce lobbying protège une industrie dont les produits causent la mort de plus de 75 000 personnes par an en France d'après Améli.

Face aux réglementations strictes dans les pays occidentaux, l'industrie cible désormais les marchés moins réglementés des pays en développement. L'aspect immoral réside dans un calcul simple : retarder les mesures de santé publique génère des profits supplémentaires au prix de milliers de vies. Les documents internes de l'industrie prouvent qu'elle connaissait les dangers de ses produits tout en les niant publiquement.

L'industrie du tabac a une longue histoire de mensonges au public, explique l’OMS, notamment en démentant le lien entre tabagisme et cancer du poumon. En fait, les cigarettiers infiltrent certaines organisations en passant par des associations ou des experts qu’ils financent discrètement, afin de bloquer les politiques anti-tabac. (source : Le Monde, 2012).

D'après l'OMS, cette tactique d'influence cible principalement les groupes vulnérables comme les jeunes, les individus à revenus modestes et les pays en développement. C'est pour cette raison que la survie du marché du tabac et de la nicotine repose en grande partie sur l'attraction de nouveaux consommateurs parmi les jeunes. Selon l'OMS, les producteurs de tabac mettent en œuvre différentes stratégies pour attirer et établir une relation de confiance avec les jeunes dès leur tendre enfance (par exemple : à travers la promotion de la cigarette électronique, du puff, du tabac chauffé, etc.).

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Mégot de cigarette

Face à la gabegie, que peut-on exiger de l’industrie du tabac ?

L'OMS propose de rendre l’industrie du tabac responsable des coûts environnementaux via une taxe éco, la gestion des déchets (notamment des filtres en plastique à usage unique), et la réduction de son empreinte carbone. Elle recommande aussi de soutenir la reconversion des cultivateurs, d’intégrer ces enjeux dans les politiques climatiques (COP), et de renforcer la sensibilisation dès l’école (source : OMS, 2022).

Trois leviers pour limiter les dégâts de l’industrie du tabac

D'après Greenly, une industrie du tabac réellement responsable exigerait trois changements essentiels :

  1. premièrement, une transparence totale exigeant la divulgation complète des additifs et des stratégies marketing, accompagnée d'un financement indépendant pour la recherche sur les effets sanitaires sans influence industrielle ;
  2. deuxièmement, l'établissement d'un fonds de réparation substantiel, financé par une taxe spéciale sur les profits de l'industrie, pour couvrir les coûts sanitaires réels de leurs produits et soutenir les agriculteurs du tabac dans leur transition vers des cultures alimentaires durables, ainsi que la collecte des déchets (à ce jour, ce sont les contribuables du monde entier qui financent le traitement des déchets liés au tabagisme) ; 
  3. Troisièmement, l'adoption d'un modèle de décroissance programmée où les fabricants s'engageraient contractuellement à réduire progressivement leur production de 10% par an, tout en réorientant leurs investissements vers des alternatives moins nocives et la reconversion de leurs employés.
Transparence & éthique
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Une transparence totale exigeant la divulgation complète des additifs et des stratégies marketing, accompagnée d'un financement indépendant pour la recherche sur les effets sanitaires sans influence industrielle.
Principe du pollueur-payeur
En savoir +
L'établissement d'un fonds de réparation substantiel, financé par une taxe spéciale sur les profits de l'industrie, pour couvrir les coûts sanitaires réels de leurs produits et soutenir les agriculteurs du tabac dans leur transition vers des cultures alimentaires durables, ainsi que la collecte des déchets.
Décroissance programmée
En savoir +
L'adoption d'un modèle de décroissance programmée où les fabricants réduiraient progressivement leur production, tout en réorientant leurs investissements vers des alternatives moins nocives.

Ces mesures reconnaîtraient qu'une industrie véritablement responsable ne peut continuer à commercialiser un produit qui, utilisé comme prévu, tue la moitié de ses consommateurs réguliers.

La solution la plus simple : arrêter de fumer

La manière la plus simple et radicale de réduire l’impact environnemental du tabac, c’est de ne plus en consommer

Chaque année, des campagnes comme la Journée mondiale sans tabac (31 mai) ou le Mois sans tabac (novembre) rappellent cet enjeu. En parallèle, des mesures existent : hausse des prix, interdiction aux mineurs, mise en garde sur les paquets, interdiction de publicité (loi Évin), et développement d’alternatives comme la cigarette électronique (qui n’est pas sans impact non plus).

Mais au fond, prendre conscience de la pollution que génère cette industrie à chaque étape – de la culture à la fin de vie des mégots – devrait suffire à motiver l’arrêt. 

Bibliographie

Loi du 24 février 2025 visant à interdire les dispositifs électroniques de vapotage à usage unique, Vie publique, 2025, https://www.vie-publique.fr/loi/292058-interdiction-puffs-cigarette-electronique-jetable-loi-du-24-fevrier-2025

Volume des ventes totales de tabac en France de 2005 à 2023, Statista, 2025, https://fr.statista.com/statistiques/480246/ventes-totales-tabac-france/

Les cigarettes PIR, une norme indispensable contre les …, generationsanstabac.org, 2020, https://www.generationsanstabac.org/fr/actualites/les-cigarettes-pir-une-norme-indispensable-contre-les-incendies/

Le mégot de cigarette est écotoxique - Chimirec, Chimirec, https://chimirec.fr/actualite-33400-122.php#:~:text=Chaque%20ann%C3%A9e%2C%20en%20France%2C%20on,plages%20et%20dans%20nos%20villes.

Les plus grands producteurs de tabac au monde, Statista, 2024, https://fr.statista.com/infographie/32335/plus-grands-pays-producteurs-de-tabac/

Pesticides, déchets... L’industrie du tabac détruit l’environnement, Reporterre, 2022, https://reporterre.net/Pesticides-dechets-L-industrie-du-tabac-detruit-l-environnement

Déforestation, consommation d’eau, émissions de CO2 : la très lourde empreinte environnementale de l’industrie du tabac, Le Monde, 2023, https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/08/09/deforestation-consommation-d-eau-emissions-de-co2-la-tres-lourde-empreinte-environnementale-de-l-industrie-du-tabac_6184872_3244.html?utm_source=chatgpt.com

L'industrie du tabac, pire désastre pour la planète, Libération, 2022, https://www.liberation.fr/environnement/climat/lindustrie-du-tabac-pire-desastre-pour-la-planete-20220531_MGA25KAS6FFINAWZ6TON6N6T7U/

France : L'industrie du tabac a déclaré plus de 800 000€ en …, generationsanstabac.org, 2024, https://www.generationsanstabac.org/fr/actualites/france-industrie-du-tabac-a-declare-plus-de-800-000e-en-lobby-en-2023/

Les lobbies du tabac organisent l’anti-prévention du tabagisme, Cairn, 2018, https://stm.cairn.info/revue-les-tribunes-de-la-sante-2018-1-page-91?lang=fr

Tabagisme : comparaison régionale en France et étude sur l …, Améli, 2024, https://www.ameli.fr/medecin/actualites/tabagisme-comparaison-regionale-en-france-et-etude-sur-l-efficacite-de-tabac-info-service

Les conspirateurs du tabac, Le Monde, 2012, https://www.lemonde.fr/societe/article/2012/02/25/les-conspirateurs-du-tabac_1647738_3224.html

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