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Comment calculer son bilan carbone personnel ?

Chaque individus a un impact sur l’environnement. Greenly vous aide à calculer et réduire vos émissions de CO2 grâce au bilan carbone personnel.
Entreprise
2023-03-06T00:00:00.000Z
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Des gouttes d'eau sur une feuille verte

Le bilan carbone personnel agit en faveur de la prise de conscience collective. À l’heure où l’urgence climatique est de mise, il convient de changer son mode de vie pour espérer sauver la planète. Or, ceci passe principalement par le suivi et la réduction de ses propres émissions de gaz à effet de serre (dites "GES").

Principales responsables du réchauffement climatique, ces dernières doivent être réduites de manière drastique, afin de limiter les dégâts sur l'environnement. Alors que les manifestations des dérèglements se font de plus en plus récurrentes (tornades, hausse des températures, montée des eaux, etc.), il devient urgent d'agir à l'échelle individuelle.

C’est un fait : chacun d'entre nous a un impact sur l'environnement. Si tout le monde change sa manière de vivre et adopte de bonnes habitudes, nous pouvons ralentir le réchauffement climatique. La preuve : en 2020, le jour du dépassement a été arrêté au 22 août… Premier recul notable de l'avancée inexorable de cette date, année après année. En cause ? Les mesures prises pour lutter contre la pandémie de Covid-19.

Qu’est-ce que le bilan carbone personnel ? Comment fonctionne ce calculateur d’empreinte carbone individuelle ? À qui est-il destiné ? Quelles conclusions peut-on tirer de cette analyse ? Greenly vous explique tout.

Bilan carbone personnel : définition

Le bilan carbone personnel quotidien est une démarche responsable, visant à acquérir un mode de vie plus respectueux de l’environnement. Comment ça marche ?

En quoi consiste le bilan carbone ?

Cette méthode de calcul mesure l’impact de l’Homme et de ses activités sur l’environnement. De fait, il s’avère que chaque individu est à l’origine de ce qu’on appelle une empreinte écologique (dite empreinte environnementale ou empreinte carbone). En d’autres termes, chacune de nos actions produit des émissions de GES particulièrement nocives pour l’environnement.

En 1997, le protocole de Kyoto (entré en vigueur en 2005) tirait déjà la sonnette d'alarme : oui, les gaz à effet de serre sont en partie responsables du réchauffement climatique. Pointant du doigt l'impact des activités humaines dans ce bilan, l'accord incitait les pays signataires à réduire leurs émissions de :

  1. méthane (CH4) : élevages, décharges d’ordures, exploitations minières et pétrolières ;
  2. dioxyde de carbone (CO2) est le principal responsable du réchauffement climatique. En cause, les énergies fossiles, la déforestation, l’agriculture et l’élevage intensif ;
  3. halocarbures (PFC et HFC) : réfrigération, climatisation, décharge d’ordures ;
  4. hexafluorure de soufre (SF6) : industries pharmaceutiques ;
  5. protoxydes d’azote (N2O) : l’agriculture industrielle, secteur automobile.

Dans ce contexte, le bilan carbone prend donc en considération les émissions directes et indirectes de chaque individu ou entreprise, et ce, dans tous les domaines (transports, consommation ou l’alimentation, par exemple).

Réaliser cette analyse complète est la première étape en vue d’agir efficacement contre le réchauffement climatique. De fait, la prise de conscience de son impact personnel sur l'environnement permet de l'analyser, puis d'adopter des gestes simples afin de réduire ses propres émissions.

Vapeur sur la forêt et la rivière dans l'usine

Quelles sont les étapes pour effectuer son bilan carbone personnel ?

Pour faire un point complet quant à ses habitudes de consommation, rien de plus simple : il suffit de répondre gratuitement à un questionnaire en ligne. Les 4 principaux aspects de la vie quotidienne sont pris en compte : l'alimentation, le transport, la consommation et le logement. 

L’empreinte écologique individuelle est calculée en CO2 et prend en compte 2 indicateurs : 

  1. la biocapacité de la Terre, c’est-à-dire les ressources renouvelables mises à disposition par la planète (eau, terre, matières premières), mais également la capacité des zones biologiquement productives à absorber les déchets émis par l’activités humaine ;
  2. l'activité humaine et son impact écologique, soit toutes les émissions générées et les ressources consommées par cette dernière.

Une fois l’analyse terminée, l’outil calcule le score d’empreinte carbone et propose des pistes d’amélioration. 

Pourquoi faire son bilan carbone personnel ?

Effectuer cette démarche est source de bénéfices pour la planète, mais aussi pour le portefeuille des personnes engagées. Tour d'horizon desdits bénéfice.

Atteindre l’objectif fixé par l’Accord de Paris

Les conclusions du 6e rapport du GIEC sont alarmantes : les conséquences du réchauffement climatique sont de plus en plus visibles. De même, elles se manifestent de plus en plus fréquemment. Un exemple ? La violence des événements météorologiques, qui continue de croître d'année en année. Montée soudain du niveau des eaux, épisodes caniculaires, etc. La liste est longue à l'échelle planétaire. Face à cette accélération, il est urgent d'agir tant collectivement qu'individuellement.

D’après le Ministère de la Transition Écologique, l’impact carbone moyen d’un Français était de 11,2 tCO2e en 2019. En outre, il apparaît que les Français disposant d'un revenu plus élevé que la moyenne émettent davantage de GES.

Pour vivre dans un monde neutre en carbone, il faudrait que chaque Français émette 2 tonnes de CO2 par an. C’est l’objectif à atteindre d'ici à 2050 pour ralentir le réchauffement climatique et ne pas franchir le cap fatidique des 2 degrés. Qu'on se le dise : il n'est pas trop tard. C'est pourquoi nous devons redoubler d'efforts et accélérer la prise de conscience collective.

une cible de fléchettes avec des fléchettes

Prendre conscience de son impact sur l’environnement 

Bien que nos sociétés soient de plus en plus pollueuse - et contrairement à une idée reçu - il est bel et bien possible d'agir à l'échelle individuelle. Oui, oui : nous persistons et nous signons. Le véritable problème, c'est que peu de gens ont véritablement conscience de leur impact négatif sur l'environnement. Pourquoi ? Car les conséquences de celui-ci ne sont pas directement visibles de ces personnes.

La bonne nouvelle du jour ? Adopter un mode de vie écoresponsable n'implique pas obligatoirement de se priver des petits plaisirs du quotidien ou de bouleverser son mode de vie de fond en comble. Il s’agit simplement de mettre en place des gestes alternatifs, pour protéger l’environnement tout en consommant moins, mais mieux. Dans les faits, les conclusions d'un bilan carbone personnel permettent ainsi de cibler ses efforts au bon endroit et de diminuer efficacement ses émissions de GES.

Un exemple tout bête ? Saviez-vous que remplacer sa consommation de bouteilles en plastique par l'achat d'une gourde réduit votre consommation de CO2 de 300 kg ? Et non, ce n'est pas "peanuts".

Une chose est sûre : la planète est en danger - nous sommes en danger - si nous ne faisons rien. Une bonne fois pour toutes : la Terre n’a pas les capacités suffisantes pour subvenir à nos besoins. Et notre consommation excessive accélère l’épuisement des ressources naturelles lesquelles servent pourtant à nous nourrir, à nous chauffer, à nous éclairer (nous en passons et des meilleures). Nous vivons à crédit et le constatons chaque année, lorsque survient le fameux "jour du dépassement". Autrement dit, le jour à partir duquel nous avons consommé toutes les ressources que la planète est susceptible de nous fournir pour une année. Or, le jour du dépassement est généralement décrété… Fin juillet. Oups.

On le redit tous ensemble ? Il est urgent d’adopter une consommation plus responsable, si nous voulons combattre le réchauffement climatique. 

Une personne montrant un globe terrestre sur fond de plantes vertes

Mesurer son impact écologique et faire des économies

Le bilan carbone personnel permet de quantifier vos émissions... Et de faire des économies ! D'ailleurs, ça tombe sous le sens : c'est en prenant conscience de notre impact sur l'environnement - et en le chiffrant - que l'on devient capable de mettre en place des actions concrètes et pertinentes.

Vous avez tout à gagner : au-delà du seul fait d'être éthique, la démarche présente un intérêt financier non négligeable. Par exemple, adopter un mode de vie plus responsable implique de surveiller sa consommation d’électricité. en débranchant les appareils en veille et en diminuant le chauffage, notamment. Des actions accessibles, à la fois synonymes d'économies d'énergie et de petits sous.

Par ailleurs, il est également possible d’acheter des appareils basse consommation (plus chers), pour profiter de leurs avantages sur la durée. Selon l’ADEME, les appareils A+++ consomment ainsi 50 % d’énergie de moins que ceux classés comme A+.

Bilan carbone personnel : les différents cas

Le bilan carbone personnel est fondé sur les 4 domaines les plus polluants de la vie quotidienne : le transport, la consommation et la gestion des déchets, le logement et l’alimentation. Quelques tips ? Découvrez nos astuces pour réduire vos émissions de CO2.

Graphique empreinte carbone moyenne d'un français

Le transport

Indispensable pour se déplacer, le transport fait partie des secteurs les plus polluants (l’empreinte carbone de la voiture et de l’avion est édifiante). Alors : comment apaiser ce poids de 2,8 t de CO2 ? 

Vous l'aurez deviné : pour diminuer la pollution de l'air, il convient de privilégier des modes de transport dits "doux". Au lieu d’emprunter des véhicules individuels, favorisez les transports en commun (bus, train) et le covoiturage. Dans le pire des cas, optez pour un véhicule hybride. Par ailleurs, sachez que les véhicules électriques sont conseillés… Si l’électricité est produite à partir d’énergies renouvelables. Au demeurant, l'idéal consiste évidemment à se déplacer de manière responsable, grâce à la marche ou au vélo.

La consommation

Ce point concerne la gestion des déchets et la fréquence d’achat des biens de consommation (meubles, appareils électroniques, vêtements ou électroménager). Tenez-vous bien : aujourd’hui, nous sommes à l’origine de 2 milliards de tonnes de déchets par an. Un chiffre irrecevable, qui nécessite un effort immédiat et collectif de notre part. Pour notre survie, celle de la planète et des autres êtres vivants qui la peuplent.

Consommer de façon plus responsable consiste ainsi à offrir une seconde vie aux déchets. Cela passe par le changement de nos habitudes (acheter mieux, mais moins), le recyclage et les achats d’occasion. En optant pour des appareils reconditionnés, il est inutile d’extraire de nouvelles ressources naturelles (parfois rares pour les appareils électroniques). Concernant les déchets alimentaires, il convient de surveiller les dates de péremption pour parer au gâchis. De même, il est possible (et vivement recommandé) de diminuer l’usage du plastique en achetant en vrac et en cessant de consommer l’eau en bouteille.

À ce sujet, pour vous accompagner vers des achats plus responsables, vous pouvez vous fier au rapport de l’ADEME (2018) sur l’analyse du cycle de vie.

des oranges dans un sac à ficelle blanc

Le logement 

L’énergie utilisée pour le logement produit pas moins de 2,2 t de CO2. Pour ce calcul, sont notamment pris en compte : le chauffage individuel, l’isolation, l’eau et l’utilisation des appareils électroniques.

Ici, il s’agit d’éviter le gaspillage d’énergie en optimisant ses usages quotidiens et en adoptant de bonnes habitudes. On peut ainsi investir dans des équipements écologiques et économiques, opter pour des énergies renouvelables et un fournisseur vert, améliorer l’isolation de son logement, éteindre les appareils en veille ou baisser le chauffage, par exemple.

Bon à savoir : pour sa production nationale, la France privilégie les énergies décarbonées aux énergies fossiles. En conséquence, la production d’électricité émet peu de CO2. Hourra ! Mais ce n’est pas une raison pour baisser la garde - non, non et non. A fortiori quand on sait que ces écogestes - en plus de protéger la planète - permettent de réaliser des économies sur sa facture d’électricité. 

L’alimentation 

Afin de réduire le gaspillage alimentaire et préserver les ressources pour les générations futures, il convient donc de prêter attention à ce que l’on met dans son assiette. 

En ce sens, quelques changements sont à effectuer dans cette industrie pesant pas moins de 2,9 t de CO2. De votre côté, sachez que les régimes végétariens et végétaliens consomment moins de ressources, en comparaison des régimes à base de viande. Si, toutefois, il vous est impossible de vous passer de la viande, préférez le porc et le poulet au bœuf. De même, les produits locaux, de saison et bio, issus de circuits courts. Exit les aliments transformés, emballés et réfrigérés impliquant une forte consommation d'énergie tout au long de leur fabrication et de leur conservation. 

Quels outils pour calculer son bilan carbone personnel ?

Il est tout à fait possible d’estimer l’impact de ses activités sur le climat, en faisant le calcul suivant : quantité consommée x facteur d’émission = émissions de CO2. Mais cette méthode requiert une grande précision et une connaissance accrue quant aux émissions carbones. Heureusement, plusieurs outils de Bilan carbone personnel existent. En fonction de vos réponses, ces simulateurs disponibles gratuitement sur Internet calculent votre empreinte carbone personnelle. Nous avons sélectionné les plus ludiques, performants et simples à prendre en main.

L’app Greenly

En plus de partager les bonnes pratiques liées à l’écologie sur notre blog, Greenly propose une application mobile innovante. Synchronisée avec votre compte bancaire (via une technologie sécurisée), l’app Greenly calcule automatiquement vos émissions de GES, en se basant sur vos dépenses bancaires - catégorisées pour plus de précision. 

Contrairement aux solutions suivantes, vous avez connaissance de votre impact environnemental en un clic. En effet, les questionnaires des simulations requièrent des informations pointues, comme l’année de construction de votre logement ou votre consommation de chauffage (mais comment diable s’y prend-t-on lorsque le chauffage est collectif). Ici, tout est automatisé. Pas de diable dans le tiroir.

Finalement, Greenly :

  1. vous offre une vue globale de vos émissions CO2, et ce, selon vos dépenses ;
  2. vous guide dans votre transition écologique, en vous faisant découvrir des marques vertes ; 
  3. vous propose des conseils pour faire des économies en carbone ; 
  4. vous suggère une alternative écoresponsable pour chacun de vos achats.

Global Footprint Network

Le site Foodprintcalculator.org - à l’origine des données mondiales - propose de calculer votre impact personnel sur l’environnement et d'accélérer la prise de conscience des Français grâce à un questionnaire complet. Pour déterminer votre résultat, le calculateur de bilan carbone personnel se base sur des moyennes (consommation, bâtiments, transports, etc.).

En plus d’indiquer l’empreinte carbone personnelle, le site révèle combien de planètes seraient nécessaires si tout le monde vivait comme vous - aïe, le résultat fait mal. En France, la moyenne se situe aux alentours de 2,9 planètes. Aux États-Unis, elle frise les 5 planètes… On dit ça, on ne dit rien

Un bonus ? Le site personnalise le jour du dépassement, au regard de votre propre consommation. Autrement dit, la date à compter de laquelle toutes les ressources mondiales sont épuisées. Si vous prenez votre courage à deux mains et décidez de vous comparer à la moyenne mondiale, sachez que cette dernière avait été arrêtée au 29 juillet en 2021. 

Nos GEStes Climat

Ce simulateur développé par l’ADEME (en partenariat avec l’Association Bilan Carbone) analyse le mode de vie de l’utilisateur, à travers quelques questions portant sur les transports, alimentation, logement, services publics ou numériques.

En fonction des résultats, l’outil le situe par rapport à la moyenne des Français (qui est de 11 tonnes de CO2 par an) et lui octroie quelques recommandations pour entamer sa transition vers une consommation plus écologique.

Le calculateur carbone de la Fondation Good Planet

Créée par l’écologiste et photographe Yann Arthus-Bertrand, la fondation Good Planet a à cœur d’aider entreprises et particuliers à réduire leurs émissions de GES. La fondation propose ainsi deux bilans carbone : 

  • le diagnostic voyage (afin de choisir le mode de transport et le logement qui émettent le moins de GES pour votre prochain voyage) ;
  • le diagnostic annuel des émissions de gaz à effet de serre.

Dans les deux cas, le site partage des écogestes faciles à mettre en place, pour réduire son impact au quotidien.

Entreprise : à qui s’adresser pour réaliser son bilan carbone personnel ? 

Réaliser un bilan carbone entreprise est un excellent moyen de contribuer à la transition énergétique, en répondant aux enjeux environnementaux tout en atteignant plus facilement ses objectifs financiers. À l'heure où les consciences s’éveillent, les entreprises engagées pour le climat doivent devancer les normes et répondre aux exigences de leurs clients. Une mesure désormais indispensable donc, pour assurer la pérennité de son organisation.

Le bilan carbone personnel : seulement pour les grandes entreprises ?

Encadré par la loi Grenelle II de juillet 2010, le bilan GES est obligatoire pour dans certains cas :

  • les entreprises privées de plus de 500 salariés (plus de 250 dans les DOM) ;
  • l’État et les établissements publics de plus de 250 agents ;
  • les collectivités territoriales de plus de 50 000 habitants. 

Néanmoins, cette obligation pourrait en venir à toutes les entreprises, afin d’accélérer la baisse des émissions et tendre vers un monde neutre en carbone. De fait, les organisations de toutes tailles et de tous secteurs sont incitées à faire un bilan carbone. Plus poussé que le bilan personnel, bien sûr. Et tenant compte d'un périmètre plus vaste.

Cette analyse permet de :

  • mesurer et mieux comprendre l’impact environnemental de l’entreprise ;
  • repérer les pôles d’émissions de CO2 les plus importants ;
  • s’engager dans une démarche écologique, transparente et durable, tout en faisant des économies.

Une fois les conclusions du bilan obtenues, l’entreprise établit un plan d’action pour réduire ses émissions. Nous vous conseillons de commencer par le plus simple : transiter vers les énergies renouvelables, trier les déchets, améliorer le cycle de vie des produits ou optimiser les modes de transport. 

Si vous désirez aller plus loin, sachez qu'il est aussi possible, il est possible de compenser les émissions carbones ne pouvant être évitées. Comment ? En soutenant des projets durables, visant à préserver l’environnement.

À qui faire appel ?

Des experts sont à votre disposition pour vous guider et vous accompagner dans votre stratégie bas-carbone. À l’image des prestataires certifiés par la formation Méthode Bilan Carbone de l’ADEME, des cabinets spécialisés ou des acteurs indépendants comme EcoAct. 

Par ailleurs, l’ADEME propose des subventions à hauteur de 80 % et dans la limite de 5 000 euros, pour financer votre bilan carbone sans vous ruiner ! Ces aides entrent notamment dans le Plan Tremplin pour la transition écologique, lancé le 1er février 2021.

En outre, des logiciels permettent aussi de réaliser le bilan carbone des entreprises - comme le propose Greenly. Le principe est simple : mesurer l'impact de ses activités grâce à l’analyse des données des comptes bancaires de l’entreprise. Dès lors, chaque dépense est convertie en émission carbone.

Nos experts sont à votre disposition pour réaliser une démonstration gratuite et sans engagement de notre outil.

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On fait le bilan de l'actualité green une fois par mois (ou plus si on trouve des choses intéressantes à vous raconter)

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