Les clés d’un bon rapport ESG
Découvrez comment créer un rapport ESG clair et stratégique, en suivant les meilleures pratiques de performances.
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Les solutions de Greenly
Toute entreprise - quels que soient son secteur d’activité et sa taille - a un impact sur la société. Cet impact social se traduit de plusieurs manières et de façon plus ou moins prononcée.
Quelles sont les cinq dimensions de l’impact social ? Comment évaluer l’impact social de son activité ? Quelles sont les solutions pour améliorer cet impact ? Greenly vous dit tout.
En 2011, le Conseil supérieur de l’économie sociale et solidaire (CSESS) définit l’impact social comme étant un :
👉 Autrement dit, l’impact social désigne les changements produits à long terme (positifs comme négatifs, prévus comme imprévus) engendrés par une entreprise sur ses parties prenantes, la société et son environnement.
L’impact social englobe cinq grandes échelles :
Employé pour la première fois dans les années 1970, le concept d’impact social est utilisé dans les travaux académiques publiés par l'Université de Yale portant sur la responsabilité éthique des investisseurs.
En 1990, de grandes fondations américaines commencent à mesurer le rendement social de leurs investissements (l’impact investing).
Créé en 2012, le Groupe d’experts de la Commission européenne sur l’entrepreneuriat social (GECES) importe ce concept sur le territoire français. Leur rapport de 2014 identifie des standards de mesure de l’impact social et propose une méthodologie commune à l’échelle européenne. Deux pratiques sont ciblées :
👉 Bien que toutes les entreprises soient désormais incitées à prendre en compte l’impact social, ce mouvement a été porté par les organisations de l’économie sociale et solidaire (ESS) - lesquelles sont fondées sur le principe de solidarité et d’utilité sociale.
Il s’agit d’un outil permettant de :
Le rapport d’évaluation de l’impact environnemental constitue un document précieux pour :
👉 Face à une telle démonstration de transparence, les parties prenantes éprouvent de la fierté de travailler pour (ou avec) une entreprise engagée qui œuvre véritablement pour l’intérêt général.
En prenant en compte l’impact social de son activité, une structure est en mesure d’appréhender et de gérer les changements de sorte à les intégrer dans sa stratégie globale. Pour faire simple : l’instauration de pratiques durables à chaque niveau de l’entreprise permet d’améliorer les performances économiques, tout en impactant positivement la société.
En outre, la vision, l’engagement et les valeurs portées par l’entreprise lui permettent de signer de nouveaux partenariats qui contribueront à la pérennisation de l’organisation. Basée sur une démarche d’amélioration continue et favorisant le dialogue avec les parties prenantes, l’entreprise jouit d’une meilleure résilience.
La mesure de l’impact social peut s’effectuer selon plusieurs méthodologies telles qu’une enquête qualitative, une analyse coûts-bénéfices ou un retour social sur investissement (SROI).
Cependant, dans le cadre d’une démarche de transparence et pour garantir une comptabilisation précise, l’entreprise doit respecter trois exigences :
👉 À noter : l’évaluation de l’impact social dépend de la taille de l’entreprise, du lieu d’implantation, du secteur d’activité, etc.
Pour ce faire, l’Impact Management Project (IMP) a établi un consensus mondial sur la prise en compte, la mesure et la gestion d’un impact. Il a été acté que l’impact social peut être décomposé en 5 dimensions.
👉 Les données peuvent être collectées selon trois approches : qualitative, quantitative et monétaire. Cependant, pour mener cette étape à bien, il convient de récolter les données auprès des parties prenantes - les premières concernées par l’action de l’entreprise - pour mesurer ledit impact.
Une fois les données en main, l’entreprise est en mesure de classer sa performance d’impact selon trois niveaux :
Une fois les résultats internes obtenus, il peut être judicieux de publier son rapport d’évaluation. Ce dernier permet :
👉 En faisant preuve de transparence, l’organisation gagne en légitimité et améliore sa performance.
Toute structure engagée dans une démarche de développement durable cherche à avoir un impact social positif, tout en garantissant la performance économique et la protection de l’environnement.
En respectant les trois piliers du développement durable, l’organisation met en place des pratiques à impact social positif, allant même jusqu’à modifier son modèle économique. Il peut s’agir de :
👉 En définitive, l’instauration d’une politique RSE entraîne l’amélioration du fonctionnement de l’entreprise et des relations avec les parties prenantes (clients, fournisseurs, partenaires, etc.).
En faisant cela, la structure - quelle que soit sa forme juridique - garantit la prise en compte des enjeux sociaux, environnementaux et économiques dans sa raison d’être. L’objectif ? Allier la performance économique avec la contribution à l’intérêt général.
La loi Pacte du 22 mai 2019 détaille la marche à suivre pour devenir une entreprise à mission. L’entreprise doit :
👉 À noter : dans le cas où l’entreprise n’atteindrait pas ses objectifs, le président du tribunal du commerce peut initier une procédure de retrait de la qualité de société à mission.
Améliorer l’impact social de son entreprise implique de prévenir les risques et réparer les atteintes sociales, environnementales, de droit humain et de gouvernance - lesquels peuvent survenir au sein même de l’entreprise, dans ses filiales ou dans sa chaîne d’approvisionnement.
Adoptée en 2017, la loi sur le devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre, les multinationales doivent s’engager à respecter les droits humains fondamentaux au sein de leurs activités.
Le plan de vigilance doit permettre d’identifier les principaux risques et d’anticiper les atteintes sur l’environnement, la santé, la sécurité et la violation des droits humains. Les grandes entreprises doivent ainsi respecter cinq exigences :
Nous l’avons vu, l’impact social est indissociable de la question environnementale. À ce sujet, il convient de définir une stratégie bas-carbone concrète et ambitieuse. Tout commence par la réalisation du bilan carbone de votre entreprise en vue de réduire votre empreinte carbone.
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