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La couche d’ozone, son rôle et ses enjeux en 2025
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La couche d’ozone, son rôle et ses enjeux en 2025

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La couche d'ozone est essentielle à la vie sur Terre. À ce titre, elle constitue un sujet de préoccupation, du fait du trou observé au niveau de l'Antarctique.
ESG / RSE
2025-04-23T00:00:00.000Z
fr-fr
La couche d’ozone fait l’objet d’une attention constante. Et ce, malgré la signature du Protocole de Montréal en 1987, qui a donné lieu à une riposte relativement rapide face à la menace de sa disparition.

Il faut dire que ce fameux trou apparu au-dessus de l’Antarctique nous donne des sueurs froides : tantôt rétrécissant, tantôt s’agrandissant...

Quel est l’état actuel de la couche d’ozone ? Pourquoi cette dernière est-elle si importante ? Comment s’est-elle formée ? Joue-t-elle un quelconque rôle dans le changement climatique par ailleurs ? Pourquoi un trou est-il apparu au milieu de cette fameuse couche d’ozone ?

Explications.

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Qu’est-ce que la couche d’ozone ?

Couche d’ozone, définition

La couche d'ozone désigne une couche protectrice localisée au sein de l'atmosphère terrestre. Il s'agit d'une sorte de filtre très chargé en molécules d'ozone.

Pour être tout à fait précis, la couche d'ozone se situe dans la stratosphère, entre 20 et 50 km d'altitude au-dessus de nos têtes.

Pour rappel, l’atmosphère est composée de cinq couches

  • la troposphère (en contact avec la surface de la Terre et jusqu’à 20 km au dessus d’elle) ;
  • la stratosphère (entre 20 et 50 km d’altitude) ;
  • la mésophère (entre 50 à 80 km d'altitude) ;
  • la thermosphère (jusqu'à environ 800 km d’altitude) ;
  • l’exosphère (n'ayant pas de limite vraiment définie et s'étendant loin dans l'espace).
infographie

La composition de la couche d’ozone

La couche d’ozone se distingue naturellement par une forte concentration d’ozone (O3, parfois appelé trioxygène). Cette concentration est proportionnellement plus importante que n'importe où ailleurs dans l'atmosphère - d’où le nom de “couche d’ozone”.

Pour se faire une idée, la concentration en ozone y est estimée à dix parties par million (ppm).

Petite parenthèse : l’acronyme « ppm » désigne une unité de mesure communément utilisée pour évaluer la pollution de l’air et de l’environnement. L’unité ppm indique combien de molécules d’un polluant donné on distingue, sur un million de molécules d’air par exemple. 

(...) le calcul du taux de ppm dans l’atmosphère permet de cibler les lieux, activités et zones les plus polluées, et donc à risque. Ce ciblage peut permettre, au moins, de comprendre les principales origines polluantes ; au mieux, de les résorber et les réguler. (Geo, 9 novembre 2018)

Dans le détail, l’ozone est un gaz composé de trois atomes d'oxygène.

Il est naturellement présent dans l’atmosphère terrestre, mais peut aussi être émis par l'Homme - notamment au sein de la troposphère, là où nous vivons tous et toutes.

Dans la basse atmosphère, l'ozone devient alors un polluant toxique susceptible d’affecter notre système respiratoire par exemple.

Ses propriétés oxydantes peuvent provoquer une réaction inflammatoire bronchique au niveau cellulaire, d’où une toux sèche et une gêne respiratoire. Des effets cardiovasculaires sont également constatés. Chez des enfants asthmatiques, la hausse des niveaux d’ozone peut provoquer une augmentation de la fréquence des crises d’asthme. (Ministère de la Santé et de l'Accès aux Soins, 21 juin 2017)

Pour consulter l'ensemble des recommandations à observer en cas de pic de pollution à l'ozone, rendez-vous directement sur le site du Ministère de la Santé en cliquant ici.

Le rôle de la couche d’ozone

La couche d’ozone agit comme un filtre, permettant de préserver la Terre des rayonnements ultraviolets émanant du Soleil. Ces rayonnements ultraviolets sont nocifs à la vie sur notre planète - particulièrement les UV-B.

Rappelons que les UV-B sont capables d’altérer l'ADN. Ils sont donc mutagènes pour les plantes et les animaux dont nous faisons partie.

De façon plus large, sans couche d’ozone, les maladies à l’image du cancer de la peau se multiplieraient de façon alarmante. De même que les soucis d’ordre oculaire. 

Mais le rôle de la couche d’ozone ne se cantonne pas à cette dimension de protection. Avant de protéger la vie sur Terre, la couche d’ozone contribue à la rendre possible. Car lorsqu’elle absorbe les rayons ultraviolets que nous évoquions plus tôt, la couche d’ozone devient aussi une source de chaleur. C'est ce qui explique que la stratosphère (là où elle se situe) soit la seule couche de l’atmosphère où la température augmente avec l'altitude. 

En bref, la couche d’ozone joue un rôle déterminant dans la régulation de la température terrestre. D’après une étude parue en 2023, celle-ci serait 270 degrés plus basse faute de couche d’ozone.

la terre

Comment s’est formée la couche d’ozone ?

Quand les cyanobactéries ont tout changé...

La couche d’ozone s’est formée suite à l’apparition sur Terre des premiers organismes capables de réaliser de la photosynthèse.

Sur la Terre, avant l’apparition de la vie, la couche d’ozone n’existait pas. La lumière solaire et ses rayons ultraviolets nocifs empêchaient tout développement de vie sur les continents. (...) La vie s’est ainsi développée il y a environ 3,5 milliards d’années, dans les profondeurs de l’océan, protégée des radiations UV, mais nourrie par la lumière visible. (Institut Pierre-Simon Laplace, IPSL)
Premiers organismes capables de réaliser la photosynthèse, les cyanobactéries apparurent dans l’océan primordial du Précambrien il y a plus de trois milliards d’années. (CEA)

Or, les océans sont une sorte de grand aspirateur à carbone (plus scientifiquement, on les désigne sont le nom de "puits de carbone naturel"). Une fois apparues, les cyanobactéries utilisèrent le dioxyde de carbone (CO₂) présent en grande quantité dans l’eau pour produire un gaz nouveau dans l’atmosphère : l'oxygène moléculaire (O2).

Ensuite rejeté dans l'atmosphère, cet oxygène moléculaire est monté dans les hauteurs, là où l'énergie du rayonnement solaire est telle qu’elle peut “casser” cette molécule d'oxygène (O2) en deux atomes d'oxygène (O). 

Comme l’explique le site Futura Sciences, les atomes d’oxygène n’aiment cependant pas rester seuls...
Ils cherchent vite à s’accrocher à une molécule d’oxygène intacte. Et quand ils y arrivent, ils forment quelque chose de nouveau : une molécule d’ozone (O₃), aussi appelée trioxygène (voir nos fiches récap' ci-dessous).

Le début d'un cycle vertueux

Mais l'histoire ne s'arrête pas là, car l’ozone dispose d'un pouvoir étonnant (et très utile) : il peut absorber les rayons ultraviolets (UV) du soleil.

Or, quand l’ozone fait cela, il se “sacrifie” un peu. La lumière UV "casse" en effet la molécule d’ozone (O₃), qui redevient :

  • une molécule d’oxygène (O₂) ;
  • et un atome d’oxygène (O).

Toujours aussi sociable, cet atome va partir se rattacher à une autre molécule d’ozone, qui devient à nouveau… De l'oxygène moléculaire (O₂), aussi appelé "dioxygène" en chimie, et essentiel à la respiration des animaux sur Terre.

Étape 1
☀️Dissociation de O₂
O₂ + UV → O + O
Voir au dos
Les rayons UV cassent la molécule d’oxygène (O₂) en deux atomes d’oxygène.
Étape 2
Formation de l’ozone
O + O₂ → O₃
Voir au dos
Un atome d’oxygène réagit avec O₂ pour former de l’ozone (O₃).
Étape 3
☀️Décomposition de l’ozone
O₃ + UV → O₂ + O
Voir au dos
L’ozone absorbe les UV, se décompose, et libère de l’oxygène.
Étape 4
🔁Recyclage de l’oxygène
O + O₃ → 2O₂
Voir au dos
Un atome d’oxygène réagit avec l’ozone pour produire deux molécules d’oxygène.
Dans le langage courant, on parle abusivement d’« oxygène » pour désigner en réalité le dioxygène (gaz diatomique composé de deux atomes d’oxygène). Le terme « oxygène » devrait être réservé à l’élément chimique de symbole O. (Larousse)

Le trou dans la couche d’ozone

La découverte du trou dans la couche d’ozone

La problématique posée par la couche d’ozone a émergé dans le courant des années 1970. À l’époque, on constate que la couche d’ozone s’est appauvrie, au point de former un trou au-dessus de l’Antarctique. 

Le phénomène apparaît saisonnier : l’épaisseur de la couche d’ozone diminue à l’occasion du printemps austral (en septembre), puis se reconstitue quelques mois plus tard. Et ainsi de suite. 

Au cours du printemps, l'air froid génère en effet des nuages stratosphériques polaires (aussi désignés sous le nom de “vortex stratosphérique” ou “vortex polaire”) qui viennent appauvrir un ozone déjà mis à mal par la pollution.

NB : en temps normal, ce phénomène n’intervient pas à hauteur de l’Arctique, car son vortex polaire est malgré tout trop chaud pour provoquer l’apparition des nuages stratosphériques. Une exception récente est intervenue en 2020, année où un trou de la taille du Groenland a été observé au-dessus de l’Arctique. Refermé depuis, ce dernier était vraisemblablement la conséquence des anomalies thermiques observées quelques semaines auparavant dans le Pacifique nord.

Malheureusement, outre les conséquences sanitaires, l’appauvrissement de la couche d’ozone favorise également le changement climatique

C'est d'ailleurs ironique : le niveau d’ozone diminue de façon notable au sein de la stratosphère (du fait de l'appauvrissement de la couche d'ozone), mais augmente au sein de la troposphère (là où nous vivons tous et toutes) du fait de la pollution atmosphérique. Un phénomène qui bloque donc le rayonnement infrarouge au plus près de la surface terrestre.

À titre indicatif, on estime que 90 % de la quantité d’ozone présente sur Terre se trouve dans la stratosphère, et 10 % dans la troposphère.

un coucher de soleil

Qui est responsable ?

Après étude, les spécialistes ont établi que cette situation avait été causée par les émissions de gaz industriels. Plus spécifiquement, il s’agit : 

  • des chlorofluorocarbures (CFC) présents dans les systèmes réfrigérants, les systèmes de climatisation, les bombes aérosols ou encore les solvants ;
  • des halons, autrement dit des composés chimiques ininflammables utilisés dans les extincteurs et les systèmes de protection contre les incendies.

L’ensemble de ces substances a été regroupé sous l’appellation SACO, ou Substances Appauvrissant la Couche d'Ozone.

Le protocole de Montréal et ses amendements

Face à l’urgence posée par la dégradation de la couche d’ozone, le communauté internationale a rapidement pris des mesures.

Signé en 1987, le Protocole de Montréal est l’accord international ayant statué sur la protection de la couche d’ozone via l’élimination graduelle des substances qui lui sont nocives. 

La bonne mise en œuvre de ce protocole devrait permettre d'éviter 443 millions de cas de cancer de la peau à l’échelle des États-Unis d’ici la fin du siècle. De même que des millions de cas de cataractes.

Rappelons, par ailleurs, qu’une telle initiative contribue également à la protection : 

  • de nombreux animaux menacés par les rayons UV au même titre que les humains. 
  • de la végétation dont le principe de photosynthèse peut être altéré par un excès de rayons UV.

En 1987, le protocole de Montréal a été signé par l’ensemble des pays membres des Nations Unies (24 au total). Ces derniers sont depuis soumis à l’obligation d’éliminer graduellement les SACO utilisés pour la réfrigération, la climatisation, le gonflement de la mousse, les aérosols, les solvants et d’autres applications encore.

Depuis sa signature, le Protocole de Montréal a fait l’objet de cinq amendements :

  • l’Amendement de Londres en 1990 ;
  • l’Amendement de Copenhague en 1992 ;
  • l’Amendement de Montréal en 1997 ;
  • l’Amendement de Beijing en 1999 ;
  • l’Amendement de Kigali en 2016. 
iceberg

Où en est la couche d’ozone en 2025 ?

Une guérison progressive mais sous haute surveillance

Le trou dans la couche d’ozone est toujours présent. Un temps en voie de régression, il s’est de nouveau agrandi fin 2023.

D’après l'Agence spatiale européenne (ESA), le trou de la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique a atteint sa taille maximale le 16 septembre 2023, avec 26 millions de kilomètres carrés de superficie (l'équivalent de l'Amérique du Nord). Pour Antje Inness, chercheuse au Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme, il s'agissait de "l'un des plus grands trous d'ozone jamais enregistrés".

Pour autant, les scientifiques considèrent que cet état de fait ne remet pas en cause la guérison progressive de la couche d’ozone - amorcée depuis la mise en œuvre du Protocole de Montréal. Effectivement, l’éruption du volcan Hunga Tonga en 2022 pourrait expliquer l'agrandissement survenu l'année suivante. 

Dans le détail, l’éruption aurait provoqué l’émanation d’une grande quantité de vapeur d'eau dans la stratosphère (plus de 50 millions de tonnes). Or, “la vapeur d’eau aurait pu conduire à la formation accrue de nuages ​​stratosphériques polaires, où les chlorofluorocarbones (CFC) peuvent réagir et accélérer l’appauvrissement de la couche d’ozone”. Pour ne rien arranger, “la présence de vapeur d’eau peut également contribuer au refroidissement de la stratosphère antarctique (...) aboutissant à un vortex polaire plus robuste". (Antje Inness)

Près de trente ans après le Protocole de Montréal, les gaz qui attaquent l'ozone au-dessus de nos têtes n’ont pas encore disparu de notre atmosphère. D’après les prévisions, il faudra compter entre 50 et 100 ans pour qu’ils soient totalement éradiqués.

Par ailleurs, les trous de la couche d'ozone présentent une "variabilité naturelle". En 2019, les températures exceptionnellement élevées avaient enrayé la formation de nuages stratosphériques polaires. Conséquence directe : le trou dans la couche d’ozone avait rétréci de façon spectaculaire.

Vers un rétablissement complet de la couche d'ozone ?

Une bonne nouvelle tout de même ? Au printemps 2024, une étude publiée dans Nature Climate Change a annoncé que les concentrations d'hydrochlorofluorocarbones (HCFC) au sein de notre atmosphère ont commencé à décliner plus tôt que ce que les prévisions avaient anticipé. Un signe encourageant.

De même, les mesures observées le 28 septembre 2024 incitent à l'optimisme.

Selon les experts de la NOAA et de la Nasa, le trou d’ozone au-dessus de l’Antarctique a atteint une moyenne 20 millions de km2 cet automne, soit la 7ème valeur la plus basse depuis 1992. Des chiffres qui portent à croire que la couche d’ozone pourrait se rétablir d’ici à 2066. (RTS 11 novembre 2024)

Dans le détail, sous réserve que le protocole de Montréal soit respecté, les scientifiques estiment que la situation pourrait revenir à la norme :

  • d’ici 2066 au-dessus de l’Antarctique ;
  • d’ici 2045 au-dessus de l’Arctique ;
  • d’ici 2040 dans le reste du monde.

Le 9 janvier 2023, des experts mandatés par l'ONU ont indiqué que la couche d'ozone pourrait bel et bien, un jour, retrouver les valeurs de 1980. À date, 99 % des substances qui détruisent l'ozone sont en cours d’élimination. Pour consulter le rapport complet, cliquez ici.

Bien évidemment, un tel exploit dépendra du respect scrupuleux des règles établies par le protocole de Montréal, et ce, à l’échelle mondiale. La prudence reste donc de mise.

(...) la couche d'ozone est encore loin d'être complètement guérie. (Stephen Montzka, scientifique principal au Global Monitoring Laboratory de la NOAA pour RTS, 11 novembre 2024)

Si 24 pays seulement avaient initialement ratifié le protocole de Montréal, ce dernier a maintenant été signé par l'ensemble des pays du globe. 

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Attention à ne pas tout confondre

Il arrive parfois que certains et certaines assimilent le problème de la couche d'ozone avec celui du réchauffement climatique.

De fait, ainsi que l'a illustré Jean-Marc Jancovici dans cet article, les deux problématiques présentent des similitudes. Parmi elles :

  • elles sont toutes deux liées à un problème d'émissions anthropiques (générées par l'activité humaine) ;
  • elles ne peuvent être résolues à court terme, mais sur une échelle de temps long ;
  • elles ont chacune fait l'objet de la signature d'un protocole (le Protocole de Montréal pour la couche d'ozone et l'Accord de Paris pour le réchauffement climatique).

Pour autant, il s'agit bel et bien de deux défis distincts.

Les phénomènes à l'œuvre ne sont pas les mêmes, par exemple : dans le cas de la couche d'ozone, c'est la réaction chimique engendrée par les CFC qui pose problème. A contrario, dans le cas du réchauffement climatique, la question relève de la physique pure : c'est l'accumulation de gaz à effet de serre (GES) au sein de l'atmosphère qui "étouffe" la Terre en ajoutant un effet de serre anthropique à l'effet de serre naturel existant sans intervention humaine (lequel est essentiel à la vie sur notre planète). Les échanges d'énergie se trouvent ainsi enrayés - on parle de forçage anthropique, par référence au forçage radiatif (ou forçage climatique) qui est un concept un peu plus large.

Pour en savoir plus sur le forçage radiatif, n'hésitez pas à consulter notre article dédié.

Couche d’ozone
Problème chimique lié aux CFC (chlorofluorocarbures).
Réchauffement climatique
Problème physique lié à l'accumulation de gaz à effet de serre (GES).
Couche d’ozone
Réaction chimique qui détruit l’ozone dans la haute atmosphère.
Réchauffement climatique
Réaction physique qui piège la chaleur.
Couche d’ozone
Forçage chimique : perturbation des réactions chimiques normalement observées.
Réchauffement climatique
Forçage radiatif : déséquilibre entre l'énergie reçue et renvoyée en provenance et en direction de l'espace.
Couche d’ozone
Conséquences : risques pour la santé et les écosystèmes.
Réchauffement climatique
Conséquences : dérèglement du climat, canicules, montée des eaux, événements extrêmes.
Couche d’ozone
Protocole de Montréal (1987) pour limiter les émissions de CFC.
Réchauffement climatique
Accord de Paris (2015) pour réduire les émissions de GES.
Bibliographie

Couche d'ozone : qu'est-ce que c'est ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/climatologie-couche-ozone-4411/

Connaissez-vous les cinq couches de l'atmosphère ?, Office fédéral de météorologie et de climatologie MétéoSuisse, https://www.meteosuisse.admin.ch/portrait/meteosuisse-blog/fr/2023/05/wie-ist-die-atmosphaere-aufgebaut.html

Un trou hors-norme s'est creusé dans la couche d’ozone boréale en raison de températures trop élevées, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/arctique-trou-hors-norme-creuse-couche-ozone-boreale-raison-temperatures-trop-elevees-33750/

PPM : à quoi correspond cette unité de mesure de la pollution ?, GEO, https://www.geo.fr/environnement/ppm-a-quoi-correspond-cette-unite-de-mesure-de-la-pollution-193340

Gaz : qu'est-ce que c'est ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/physique-gaz-15336/

Oxygène : qu'est-ce que c'est ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/chimie-oxygene-798/

Recommandations en cas d’épisode de pollution à l’ozone, Ministère de la Santé, https://sante.gouv.fr/archives/archives-presse/archives-breves/article/recommandations-en-cas-d-episode-de-pollution-a-l-ozone

Cancer de la peau chez des poissons : la faute au trou d'ozone ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/zoologie-cancer-peau-chez-poissons-faute-trou-ozone-40548/

Couche d'ozone, Actu-environnement, https://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/couche_d_ozone.php4

La photosynthèse, une chimie verte enclenchée par l’énergie solaire, CEA, https://www.cea.fr/multimedia/Documents/publications/clefs-cea/archives/en/086a092rutherford.pdf

Que se passerait-il en cas de disparition de la couche d'ozone ?, GEO, https://www.geo.fr/environnement/que-se-passerait-il-en-cas-de-disparition-de-la-couche-ozone-atmosphere-temperatures-cfc-215201

Comment s’est formée la couche d'ozone ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/environnement-formee-couche-ozone-6435/

Cycle de l'oxygène, Larousse, https://www.larousse.fr/encyclopedie/animations/Cycle_de_loxygène/1101025

Nuage, qu'est-ce que c'est ?, Futura Sciences, https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/climatologie-nuage-14525/

L'ère de l'ébullition mondiale est-elle réellement une première ?, Greenly, https://greenly.earth/fr-fr/blog/actualites-ecologie/l-ere-de-l-ebullition-mondiale-est-elle-reellement-une-premiere

L’ozone, un gaz à deux visages, GEO, https://www.geo.fr/environnement/l-ozone-un-gaz-a-deux-visages-169527

Substances qui appauvrissent la couche d'ozone, Sénat, https://www.senat.fr/ue/pac/EUR000007988.html

Environnement : comment expliquer la reconstitution de la couche d'ozone ?, Franceinfo, https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-vert/environnement-comment-expliquer-la-reconstitution-de-la-couche-d-ozone_5565723.html

Appauvrissement de la couche d’ozone : Protocole de Montréal, Gouvernement du Canada, https://www.canada.ca/fr/environnement-changement-climatique/organisation/affaires-internationales/partenariats-organisations/appauvrissement-couche-ozone-protocole-montreal.html

Le trou de la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique atteint une taille record en 2023, Sciences et Avenir, https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/climat/le-trou-de-la-couche-d-ozone-au-dessus-de-l-antarctique-atteint-une-taille-record-en-2023_174303

Le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique s'est agrandi, Les Échos, https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/le-trou-dans-la-couche-dozone-au-dessus-de-lantarctique-sest-agrandi-2031409

Destruction rapide d’ozone stratosphérique après l’éruption du volcan Hunga Tonga, CNRS, https://www.insu.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/destruction-rapide-dozone-stratospherique-apres-leruption-du-volcan-hunga-tonga

Les bonnes nouvelles de la couche d'ozone, Les Échos, https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/les-bonnes-nouvelles-de-la-couche-dozone-2102341

A decrease in radiative forcing and equivalent effective chlorine from hydrochlorofluorocarbons, Nature, https://www.nature.com/articles/s41558-024-02038-7

La couche d'ozone va mieux mais il lui faudra du temps pour se remettre, RTS, https://www.rts.ch/meteo/2024/article/la-couche-d-ozone-va-mieux-mais-il-lui-faudra-du-temps-pour-se-remettre-28691214.html

La reconstitution de la couche d’ozone est en bonne voie, selon des experts, ONU Info, https://news.un.org/fr/story/2023/01/1131187

Scientific Assessment of Ozone Depletion : 2022, World Meteorological Organization, United Nations Environment Programme, National Oceanic and Atmospheric Administration, National Aeronautics and Space Administration, European Commission, https://ozone.unep.org/system/files/documents/Scientific-Assessment-of-Ozone-Depletion-2022-Executive-Summary.pdf

L’effet de serre, quel rapport avec le trou dans la couche d’ozone ?, Jean-Marc Jancovici, https://jancovici.com/changement-climatique/aspects-physiques/leffet-de-serre-quel-rapport-avec-le-trou-dans-la-couche-dozone/

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