Les clés d’un bon reporting ESG
Découvrez comment créer un rapport ESG clair et stratégique, en suivant les meilleures pratiques de performances.
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L’emploi dans le secteur de l’environnement a actuellement la côte. L’état actuel du monde fait évoluer les métiers du fait de l’influence des phénomènes climatiques plus fréquents et intenses. Dès lors, suite à cette prise de conscience sur la nécessité de préserver la Terre, de plus en plus de personnes en recherche d’emploi souhaitent soutenir la lutte contre le réchauffement climatique grâce à leur vie professionnelle. 💥
À titre d’illustration, en 2020, 14,1 % des demandes d’emploi concernaient les métiers verts. La recherche de plus en plus élevée de ces types de professions démontre l’importance que revêt les enjeux écologiques dans les choix de carrière des futurs travailleurs.
Demandeurs d’emploi ou salariés qui souhaitent redonner un sens à votre activité professionnelle, découvrez dans cet article ce qu’est un emploi vert ainsi que les étapes à suivre pour trouver l’entreprise en accord avec vos valeurs. 👀
Conformément à la loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015, de nombreuses entreprises sont dans l’obligation de prendre des mesures écologiques en vue de contribuer à la lutte contre le dérèglement climatique. Par extension, les offres d’emploi intègrent également les enjeux environnementaux.
Dès lors, un emploi environnement a pour ambition de protéger les espaces naturels, de réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES), ainsi que de limiter l’utilisation de ressources tout en accélérant la transition écologique. 🌱
Par conséquent, deux catégories de métiers dans le domaine de l’environnement et de la transition écologique se distinguent :
Dans les grandes lignes, une entreprise durable prend en considération des enjeux environnementaux, la mise en œuvre d’une démarche de développement durable et de RSE - Responsabilité sociétale des entreprises - ainsi que des stratégies visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre.
👉 Quelques exemples de secteurs environnementaux dont les professions répondent à ces critères : la gestion des déchets, la production et la distribution d’énergie et d’eau, la construction et la rénovation de bâtiments, la protection de la nature et de l’environnement ou encore dans la dépollution des sols.
Les métiers de l’environnement s’inscrivent autant dans une économie verte que dans un objectif de croissance verte. Par conséquent, il convient d’inciter un mode de production et de consommation durable et soutenable sur le long terme. ⏳
En outre, l’économie verte est fondée sur les piliers du développement durable - social, économique et environnemental - en vue :
👀 En définitive, cette activité économique respecte la nature tout en assurant que les générations futures disposent des ressources nécessaires à leur survie.
Par ailleurs, ces types d’emplois sont encadrés par l’Observatoire national des emplois et métiers de l’économie verte (Onemev). Par ailleurs, l’intégration des préoccupations écologiques dans l’activité économique permet l’émergence de nouvelles activités - voire la transformation de certains emplois - nécessitant ainsi l’acquisition de nouvelles compétences. 🎓
Selon une étude menée par le CSA, l’environnement est la principale préoccupation des jeunes salariés de moins de 35 ans. Sur le long terme, 42 % des salariés souhaitent se reconvertir dans un métier en rapport avec l’écologie.
En 2020, 14,1 % des demandes d’emploi concernait les professions vertes et représentent 17,5 % des offres déposées par les employeurs. En définitive, sur la période 2013-2018, 311 000 actifs supplémentaires ont trouvé un emploi dans ce secteur d’avenir.
De plus, les métiers de la transition écologique font appel à des travailleurs de tous les niveaux de qualification. Dans le détail, les ouvriers qualifiés ou spécialisés sont très recherchés dans les métiers du bâtiment. A contrario, les ouvriers non qualifiés sont très demandés dans les professions en rapport avec les déchets, le nettoyage des espaces urbains et à l’entretien des espaces naturels. 🌳
👀 Bon à savoir : 42 % des demandeurs d’emploi possèdent un niveau de formation égal au BEP/CAP contre 29 % n’ayant pas ou peu de diplômes.
Attention toutefois, les métiers de la protection de la nature n’offrent que très peu de postes, contrairement au secteur des énergies renouvelables qui est en plein essor. Malgré tout, en 2020, 71 % des métiers de l’économie verte rencontraient des difficultés de recrutement. Une opportunité à ne pas manquer pour les personnes soucieuses d’agir pour le climat ! 👋
Malgré l’intérêt grandissant des entreprises pour la sobriété et l’invitation de la première ministre Élisabeth Borne à créer des « ambassadeurs de la sobriété » en entreprise, les annonces pour ce type de postes se font encore trop rares. 🧐
👋 Pour rappel : la sobriété en entreprise implique la modération de la production, ainsi que des usages énergétiques et matériels d’une entreprise de sorte à limiter son impact environnemental.
À titre d’exemple, le site d’emploi Indeed ne comptabilise qu’une cinquantaine d’annonces pour toute la France. 🔎
En cause ? Des intitulés d’emplois flous - à l’image d’ « alternant ingénieur acteur de la sobriété énergétique » ou de « stage animateur sobriété énergétique » - faisant craindre une position temporaire.
De même, le poste de « chief sobriety officer » - pourtant indispensable dans l’atteinte de la sobriété - est encore très peu recherché par les candidats. 👀
A contrario, malgré les responsabilités qui l’incombent, la fonction de responsable climat connaît un essor fulgurant. En effet, cette position intervient dans divers secteurs (numérique, chauffage, etc.) et a pour mission d’informer l’ensemble des salariés tout en respectant les réglementations.
Menée en 2014, l’étude intitulée « Standards environnementaux et productivité du travail : comprendre les mécanismes qui soutiennent le développement durable » révèle que les entreprises engagées offrent un cadre de travail bénéfique aux salariés.
En effet, les employés bénéficieraient d’une productivité 16 % plus élevée que la moyenne. En cause ? L’engagement climatique de l’entreprise, la formation des salariés sur ce sujet, le respect des normes environnementales - dont les bénéfices se manifestent par l’efficacité organisationnelle de l’entreprise - et une démarche d’amélioration continue entre autres. 💪
De plus en plus de demandeurs d’emploi recherchent un métier en résonance avec leurs valeurs écologiques. En effet, la vie professionnelle prend une part importante dans notre quotidien, il convient donc de choisir un emploi :
Par conséquent, il convient à chacun d’élaborer ses critères de sélection en vue de choisir l’entreprise engagée dans laquelle il souhaite travailler - voire en boycotter certaines. Avant de faire votre choix, n’oubliez pas de prendre en compte les conditions de travail - en particulier dans le secteur du bâtiment. 🏗
Comment les produits sont-ils conçus ? L’entreprise travaille-t-elle avec des partenaires et des fournisseurs engagés ? Sa stratégie marketing est-elle menée de sorte à ne pas pousser leurs clients à la surconsommation ?
Ce n’est là qu’un échantillon de questions à vous poser dans l’optique de comprendre le fonctionnement de l’entreprise - voire de déceler des stratégies de greenwashing. ⚠️
Par ailleurs, une entreprise réellement engagée s’illustre par ses engagements environnementaux (a entamé sa transition écologique, possède une démarche RSE, etc.) et la mise en œuvre d’une stratégie de réduction des émissions (transition énergétique, limitation de l’utilisation des ressources fossiles, entre autres).
Dès lors, en vue de réduire son impact sur l’environnement, elle a effectué des transformations profondes quant à son mode de production (écoconception des produits notamment), mais également concernant ses modes de transport.
Dans le cas où une entreprise prend ses dispositions pour réduire son impact environnemental, il ne devrait pas y avoir de mauvaises surprises. Toutefois, la structure peut se démarquer de ses concurrents - et renforcer son implication dans la cause environnementale - en partageant publiquement ses résultats. Il peut s’agir :
Pour aller plus loin, elle peut également préciser les mesures prises dans l’optique de réduire les répercussions dont elle est à l’origine. 👋
Bon. Là, il s’agit d’ouvrir la boîte de Pandore de l’entreprise : où partent les financements de l’entreprise, et surtout, à qui sont-ils destinés ? 🕵️♂️
Dans le cas d’une compensation des émissions de carbone - c’est-à-dire le fait de réduire son impact environnemental - une structure choisit de soutenir financièrement un projet vertueux dont elle n’est pas responsable. Néanmoins, certaines structures n’hésitent pas à compenser à tout-va, voire à soutenir des projets finalement peu écologiques - à titre d’illustration, très polluantes, les énergies fossiles sont à éviter à tout prix.
Il s’agit là d’une très mauvaise stratégie quand on sait qu’il faut d’abord réduire les émissions à la source avant de compenser les émissions résiduelles.
Par ailleurs, il est intéressant de se renseigner sur la prise en considération des risques écologiques dans la stratégie financière de l’entreprise. En effet, au vu de la situation actuelle, une entreprise ne peut plus détourner les yeux sur les conséquences du changement climatique. De fait, cette dernière doit absolument intégrer l’urgence écologique dans sa stratégie globale. 🚨
Plusieurs solutions existent pour trouver des informations sur ce qui semble être l’emploi environnemental de vos rêves :
Pour entamer une transition écologique, commencez par réaliser le bilan carbone de votre activité ! Faites appel à nos experts pour déterminer les principaux postes de pollution de votre structure et élaborer une stratégie de réduction 100 % personnalisée.
🚀 Pour aller plus loin :