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Centrale nucléaire : fonctionnement, débat et perspectives
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Centrale nucléaire : fonctionnement, débat et perspectives

ÉcologiePolitique
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un site nucléaire
Une centrale nucléaire est un site comprenant un ou plusieurs réacteurs nucléaires. Mais comment cela fonctionne-t-il ? Que faut-il savoir ?
Écologie
2025-12-03T00:00:00.000Z
fr-fr

Les points clés à découvrir dans cet article

  • Ce qui se passe à l'intérieur d'une centrale nucléaire

  • Le nombre de réacteurs actuellement opérationnels dans le monde

  • La raison pour laquelle l'attention se concentre désormais sur les fameux "EPR 2"

En France, le nucléaire est la première source de production d'électricité. La construction de 6 centrales nucléaires nouvelle génération (EPR) supplémentaires est d'ailleurs envisagée sur notre territoire. L'objectif : moderniser cette industrie, mais aussi soutenir la transition de la France vers un modèle de société bas carbone - sans parler du fait de préserver son indépendance énergétique. Pour autant, les centrales nucléaires sont loin de faire l'unanimité, et ce, depuis des décennies...
une image de centrales nucléaires

Qu'est-ce qu'une centrale nucléaire ?

Centrale nucléaire, définition

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Une centrale nucléaire est une usine où on produit de l’électricité par l'intermédiaire de la fission nucléaire.

Pour ceux et celles qui ignoreraient ce qu'est la fission nucléaire, commençons par rappeler que tout ce qui nous entoure est composé d’atomes. Ces fameux atomes possèdent tous un noyau, lequel peut produire une grande quantité d'énergie lorsqu'il explose. C'est tout le principe de la fission nucléaire.

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La fission nucléaire implique nécessairement l’usage d’uranium, un élément constitué d’atomes lourds instables issus de certaines roches. Toutefois, seul l'uranium 235 est fissible. C’est donc celui utilisé par les centrales nucléaires.

Pour résumer, une centrale nucléaire est un endroit où on fait exploser des noyaux d'atome, afin d'en récupérer l'énergie que l'on transforme ensuite en électricité.
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L'énergie dégagée par la fission nucléaire est tout bonnement gigantesque. Pour se faire une idée, 1 gramme d'uranium 235 libère autant d'énergie que la combustion de plusieurs tonnes de charbon. Les neutrons libérés disposent d'ailleurs eux-mêmes d'une très grande énergie. Ralentis, ils peuvent provoquer de nouvelles fissions. Au sein d'un réacteur nucléaire, la réaction s'auto-entretient.

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Attention à ne pas confondre centrale nucléaire et réacteur nucléaire, ce n'est pas la même chose ! Une centrale nucléaire désigne l’ensemble d’un site nucléaire, au sein duquel on trouve un ou plusieurs réacteurs nucléaires. Cette distinction est importante, notamment pour le comptage des centrales ou réacteurs nucléaires existants ou à venir. Sachez ainsi qu'en 2025, à l'échelle mondiale, l'IAEA compte 416 réacteurs nucléaires en service, répartis entre 170 centrales.

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screenshot de YouTube

Le débat autour du nucléaire

Le recours à l'énergie nucléaire prête à débat depuis des décennies. Au premier rang des préoccupations des anti-nucléaires : la dangerosité de cette énergie. Une dangerosité évidemment relativisée par les pro-nucléaires.

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En toute objectivité, l'équation n'est pas simple. Notamment à l'heure du réchauffement climatique, alors que la nécessité d'abandonner les énergies fossiles se fait aussi pressante. Sans parler du fait que l'immensité de nos besoins en matière d'énergie ne semble pas compatible avec un recours exclusif aux énergies renouvelables. D'un autre côté, les conséquences des incidents de Tchernobyl et Fukushima - sans parler des bombardements à proximité de Zaporijia - ont largement illustré les menaces induites par l'exploitation du nucléaire.

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Pour en savoir plus sur le débat autour de l'énergie nucléaire, n'hésitez pas à consulter notre article dédié.

une expérience scientifique

Comment fonctionne une centrale nucléaire ?

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Le fonctionnement d'une centrale nucléaire repose sur l'interaction entre trois circuits : le circuit primaire, secondaire et de refroidissement.

Le circuit primaire

Le circuit primaire est un circuit fermé au sein duquel se trouve le réacteur. À l'intérieur du circuit primaire, la fission des atomes d'uranium génère une grande quantité de chaleur. Celle-ci permet de faire grimper la température de l'eau qui circule autour du réacteur à pas moins de 320 °C.

Le circuit secondaire

Le circuit secondaire est lui aussi un circuit fermé, avec lequel le circuit primaire communique toutefois via un générateur de vapeur. À ce stade, l'eau chaude issue du circuit primaire chauffe l'eau du circuit secondaire et la transforme en vapeur. La pression de cette vapeur enclenche une turbine, laquelle enclenche à son tour un alternateur qui produit un courant électrique alternatif.

Le circuit de refroidissement

Une fois hors de la turbine, la vapeur se voit à nouveau transformée en eau via un condenseur dans lequel circule justement de l'eau froide en provenance d'une source extérieure (fleuve, mer, etc.).
En fonction du débit de cette source extérieure, la centrale nucléaire présentera ou non une tour aéroréfrigérante. Il existe deux types de système de refroidissement :

1️⃣
le refroidissement en circuit fermé : si le fleuve ou la rivière présente un débit limité, l'eau sera refroidie par le biais d’une tour aéroréfrigérante, grâce au courant d’air qui monte à l’intérieur ;
2️⃣
le refroidissement en circuit ouvert : si le fleuve présente un débit important ou si l'eau est prélevée dans la mer, elle y est intégralement rejetée après passage dans le condenseur de la turbine.
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screenshot de YouTube

Combien y-a-t-il de centrales nucléaires à travers le monde ?

En 2025, l'IAEA compte 416 réacteurs nucléaires opérationnels dans le monde, dont :

🇺🇸
94 aux États-Unis ;
🇨🇳
57 en Chine ;
🇫🇷
57 en France ;
🇷🇺
36 en Russie ;
🇰🇷
26 en Corée du Sud ;
🇮🇳
21 en Inde ;
🇨🇦
17 au Canada ;
🇺🇦
15 en Ukraine ;
🇯🇵
14 au Japon ;
🇬🇧
9 au Royaume-Uni ;
🇪🇸
7 en Espagne
🇨🇿
6 en Tchéquie ;
🇵🇰
6 au Pakistan ;
🇸🇪
6 en Suède ;
🇫🇮
5 en Finlande ;
🇸🇰
5 en Slovaquie ;
🇧🇪
4 en Belgique ;
🇭🇺
4 en Hongrie ;
🇨🇭
4 en Suisse ;
🇦🇪
4 aux Émirats Arabes Unis ;
🇦🇷
3 en Argentine ;
🇧🇾
2 en Biélorussie ;
🇧🇷
2 au Brésil ;
🇧🇬
2 en Bulgarie ;
🇲🇽
2 au Mexique ;
🇷🇴
2 en Roumanie ;
🇿🇦
2 en Afrique du Sud ;
🇦🇲
1 en Arménie ;
🇮🇷
1 en Iran ;
🇱🇺
1 aux Pays-Bas ;
🇸🇮
1 en Slovénie ;

Connaissance des énergies

29 septembre 2025

Notons que le Bangladesh (1 centrale en construction comprenant 2 réacteurs), l’Égypte (1 centrale en construction, 4 réacteurs) et la Turquie (1 centrale en construction, 4 réacteurs), n’ont actuellement aucune centrale nucléaire en service (...).

Quel avenir pour le nucléaire ?

Les centrales nucléaires nouvelle génération

Une centrale nucléaire qui repose sur la technologie EPR 

Les "centrales nucléaires nouvelle génération" (dites "évolutionnaires") désignent les réacteurs nucléaires de troisième génération. 

Leur conception repose sur celle de deux types de réacteurs existants : les NA français et les Konvoi allemands.

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Ce modèle jugé plus sûr et performant est construit pour une durée de fonctionnement de 60 ans - contre 40 ans pour les réacteurs actuels.

Surnommé EPR ("European Pressurized water Reactor", puis "Evolutionary Power Reactor"), le réacteur à eau pressurisée européen utilise la fission nucléaire en chaîne et l'eau sous pression pour produire de l'électricité. Dans le détail, la fission des atomes d'uranium crée la chaleur nécessaire pour transformer l'eau en vapeur et mettre la turbine en mouvement - permettant ainsi la création d'un courant électrique.

Zoom sur les différentes générations des centrales nucléaires 

L'élaboration de la technologie EPR repose sur le fonctionnement des centrales nucléaires antérieures. Divisée en plusieurs catégories, chaque génération s'illustre évidemment par des avancées technologiques en matière de fonctionnement, de sûreté ou de cycle de combustible, tout en répondant aux critères d'exigences de sa propre époque.

Leurs caractéristiques sont les suivantes :

  • la génération I englobe les réacteurs entrés en service en France dans les années 1970. D'une puissance comprise entre 50 et 500 MWe, ce sont des réacteurs qui utilisaient l'uranium naturel et étaient refroidis à l'eau ;
  • la génération II désigne les réacteurs à eau sous pression (REP) construits entre la fin des années 1970 et les années 1990. Encore à l'origine de la production de la majorité de l'électricité nucléaire dans le monde (utilisant un uranium enrichi à 3 et 4 %), ils ont été déployés suite à la crise pétrolière responsable de l'augmentation du coût des combustibles fossiles. À l'époque, leur rôle consistait à améliorer la compétitivité de la France et à favoriser l'indépendance énergétique du pays.
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Les réacteurs de troisième génération sont supposés être plus respectueux de l'environnement et plus compétitifs que leurs prédécesseurs.

une image de centrale au milieu de la végétation

Les 4 arguments en faveur des centrales nucléaires nouvelle génération

1. La puissance 

Plus puissante, la centrale nucléaire troisième génération atteint une capacité de production de 1 650 mégawatts - contre 1 450 MW pour les modèles les plus récents construits en France. La fission nucléaire et l'eau sous pression permettent de produire 22 % d'électricité supplémentaire par rapport à un réacteur traditionnel. En définitive, la production annuelle d'une centrale est de l'ordre de 13 TWh. 

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Le rendement thermique s'élève à 37 % contre 33 % pour les réacteurs de deuxième génération. Une performance rendue possible grâce à l'augmentation de la pression du circuit secondaire - passant de 65 à 78 bars.

2. Le niveau de sécurisation

Initié à la fin des années 1980, le développement de l'EPR était le fruit d'un programme franco-allemand basé sur la recherche d'une technologie plus sûre. L'objectif étant de protéger la population des rayonnements ionisants et de prévenir tout risque d'accident nucléaire.
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Il faut rappeler qu'en 1998, l'Allemagne a abandonné le développement de l'énergie nucléaire.

Dans l'optique de sortir de terre une infrastructure plus sécurisée, les créateurs de ce réacteur nucléaire nouvelle génération ont tiré les enseignements des accidents nucléaires précédents - à l'image de Tchernobyl en Ukraine et de Three Mile Island aux États-Unis.

Selon les informations issues de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, une centrale nucléaire troisième génération dotée de la technologie EPR est composée :

1️⃣
d'une épaisse enveloppe de confinement en béton (2,6 mètres d'épaisseur) qui protège le réacteur et confine la matière nucléaire à l'intérieur de l'infrastructure ;
2️⃣
de systèmes de sauvegarde diversifiés et physiquement séparés ;
3️⃣
d'une capacité à fonctionner en toute occasion - même dans le cas où l'alimentation électrique est totalement perdue ;
4️⃣
de systèmes indépendants de refroidissement d'urgence du cœur ;
5️⃣
d'éléments plus robustes afin de faire face aux agressions internes et externes (explosion, séisme, crash d'avion, etc.).
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Ces éléments doivent permettre de réduire le risque d'accident nucléaire grave (qu'il soit accidentel ou intentionnel) et de protéger la population.

3. L'impact environnemental 

Conçus et développés dans les années 1990, ces réacteurs EPR mettent à profit des technologies plus récentes, plus sûres et produisent moins de déchets.

Par kWh produit, ce type de centrale nucléaire consommerait 7 à 15 % d'uranium en moins que les réacteurs de seconde génération. De plus, l'EPR serait en mesure d'utiliser 100 % de combustibles MOX recyclés (un mélange d'oxydes d'uranium et de plutonium), permettant de réduire de 10 % la quantité de déchets à vie longue produite par kWh.

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Concernant son empreinte carbone, la taxonomie considère ce type d'infrastructure comme une énergie verte de par ses faibles émissions de CO₂. À titre d'illustration, les EPR déjà en service en Chine et au Royaume-Uni évitent respectivement le rejet de 21 et de 18 millions de tonnes de CO₂ par an.

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Enfin, selon les calculs de sûreté, le rejet significatif de radioactivité dans l'atmosphère en cas d'accident majeur est dix fois plus faible qu'avec les réacteurs nucléaires actuels. Concernant les sols, le réacteur est fixé sur une plaque de béton de six mètres d'épaisseur - "un récupérateur de corium". Celle-ci protège le sol de la pollution provoquée par une fuite de matière nucléaire, suite à un accident de fusion du cœur.

4. Le soutien à l'indépendance énergétique de la France 

Le nucléaire pourrait permettre de réduire la dépendance de la France vis-à-vis de pays tiers. Les EPR ont vocation à progressivement remplacer les réacteurs installés dans les années 80, avant d'être eux-mêmes remplacés par des EPR 2. 

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Toutefois il est à noter que l'uranium nécessaire au fonctionnement d'une centrale nucléaire deuxième ou troisième génération est importé à 100 %. La répartition exacte de ces importations n'est pas connue de manière précise, mais elles proviendraient notamment des mines d’Arlit au Niger et de Muyunkum et Tortkuduk au Kazakshtan. À titre indicatif, sachez que les pays ayant extrait le plus d'uranium naturel de leurs mines en 2022 sont le Kazakhstan (43 % de la production mondiale), le Canada (14,9 %), la Namibie (11,4 %), l'Australie (9,2 %), l'Ouzbékistan (6,7 %) et la Russie (5,1 %). 

Selon les scénarios élaborés par le gestionnaire du Réseau de Transport d'Électricité français (RTE) pour atteindre la neutralité carbone en 2050, la mise en service de 14 EPR permettrait :

🪨
de réduire notre dépendance aux énergies fossiles ;
😇
de répondre à la forte demande en électricité ;
🦾
de remplacer les réacteurs nucléaires atteignant les 40 ans d'exploitation ;
👑
d'assurer l'approvisionnement et l'indépendance énergétique de la France.

Où se trouvent les centrales nucléaires nouvelle génération ?

En France 

La tranche 3 de la centrale nucléaire de Flamanville - située dans La Manche - est le seul EPR existant en France. Après 17 ans de chantier, il a été raccordé au réseau électrique national le 21 décembre 2024.

Dans le monde 

Il existe trois autres EPR en service dans le monde : deux sont situés en Chine (à Taishan plus précisément) et un en Finlande (sur l’île d’Olkiluoto).

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Deux réacteurs nucléaires sont actuellement en construction à Hinkley Point, dans le sud-ouest du Royaume-Uni.

Quels sont les chantiers à venir ?

Une quatrième génération à l'étude 

Surnommés les EPR 2 (ou “EPR NM” pour “Nouveau Modèle”), ces centrales sont seulement des formats encore plus évolués des EPR.

Les membres du Forum international Génération IV ont retenu six technologies pouvant être utilisées par ce type de réacteur :

  • les réacteurs nucléaires à neutrons rapides (qui correspondent à trois technologies composées soit d'un circuit de refroidissement au gaz, d'un refroidissement au sodium ou d'un refroidissement au plomb) ;
  • les réacteurs nucléaires à eau supercritique (RESC) ;
  • les réacteurs nucléaires à très haute température (RTHT) ;
  • les réacteurs nucléaires à sels fondus (RSF).

En bref, ce nouveau type de centrale conserve le fonctionnement de l'EPR initial, mais s'avère a priori encore plus sécurisé, abordable, simple à construire, performant et économe en combustible.

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Les réacteurs nucléaires de quatrième génération devraient entrer en fonctionnement entre 2040 et 2050.

Six réacteurs prochainement en construction 

Lors de sa campagne de 2022, Emmanuel Macron partageait son souhait de relancer la filière nucléaire en France avec la construction de six réacteurs EPR 2 d'ici 2050. Deux devraient voir le jour à Penly, deux à Gravelines et deux dans la vallée du Rhône (l'ajout de deux EPR dans la centrale nucléaire de Cattenom en Moselle ayant été refusé par le gouvernement français).

Cette promesse a fait l'objet d'une loi promulguée le 22 juin 2023, visant à accélérer le chantier en allégeant temporairement (pendant 20 ans) certaines procédures administratives. Ainsi, les réacteurs nucléaires se verront attribuer le statut de priorité politique absolue leur permettant d'être reconnus d'intérêt public majeur. Ce statut permet aux infrastructures d'échapper à certaines dispositions du Code de l'environnement et à la loi littoral.

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En l'état, le chantier de ces EPR 2 débuterait en 2027 ou 2028, pour une exploitation du premier réacteur espérée aux alentours de 2035 (peut-être plus tard). En janvier 2025, la Cour des Comptes a cependant émis de sérieuses réserves dans l'attente de la sécurisation du financement de ce projet et de la réalisation d'études de conception plus poussées. À long terme, le gouvernement envisage la construction de huit réacteurs supplémentaires. L'objectif étant de sortir des énergies fossiles et de contribuer à l'atteinte de la neutralité carbone en 2050. Toujours dans cette optique, en décembre 2023, Emmanuel Macron a annoncé le lancement de 8 projets de SMR (Small Modular Reactor) dans le cadre du plan France 2030.

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Les SMR et les AMR (Advanced Modular Reactor) sont des petits réacteurs modulaires de faible puissance (entre 20 et 300 MWe par unité). Ils sont généralement considérés comme complémentaires des réacteurs de grande à moyenne puissance.

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