Une entreprise ayant une stratégie bas carbone pérennise son activité et améliore sa compétitivité. Pourquoi et comment la mettre en place ? Réponses ici.

Stratégie bas carbone en entreprise : pourquoi est-elle indispensable ?

Si le bilan carbone est à la mode, peu d’entreprises osent encore s’aventurer dans l’élaboration d’une stratégie bas carbone. Pour beaucoup, la mise en œuvre de mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) s’apparente à une plongée dans l’inconnu, dont le risque est trop élevé au regard des enjeux. 

À titre d’exemple, selon l’étude annuelle sur le reporting climatique menée par EcoAct, seules 3 % des entreprises ayant effectué leur bilan carbone se sont réellement fixé des objectifs scientifiquement fondés.

Pourtant, la mise en place d’une telle stratégie s’avère indispensable pour contribuer à l’objectif commun de lutte contre le dérèglement climatique. 

Dans cet article, Greenly propose un tour d’horizon des raisons pour lesquelles la réduction des émissions de votre entreprise doit s’effectuer dès aujourd’hui. 

Stratégie bas carbone : une réponse à l’urgence climatique

L’urgence climatique n’est plus une hypothèse

Presque plus un jour ne passe sans que les médias ne constatent les dégâts engendrés par le changement climatique (pénurie d’eau, hausse des températures, événements météorologiques extrêmes, etc.).

Pire : le dernier rapport du GIEC nous avertit que la fenêtre d’action pour maintenir le réchauffement sous la barre des + 1,5 °C commence à se fermer. En l’état actuel des législations, nous nous dirigeons vers un réchauffement global de plus de 3 °C. 

👉 Or, avec cette fenêtre, c’est également le scénario d’un impact modéré sur nos sociétés et notre vie quotidienne qui s’éloigne peu à peu.

Pour l’ensemble de ces raisons, il est important de souligner que la mise en place d’une stratégie bas carbone constitue un des outils à notre disposition pour justement limiter le réchauffement climatique. Un outil encore trop peu - ou mal - utilisé.

Rapport du GIEC : Où en serons-nous d’ici 2030, et la fin du siècle ? Loup Espargilière, rédacteur en chef de Vert le média rappelle les points importants du dernier rapport.
Pas de panique, le rapport propose aussi les solutions ! 🌳

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Rapport du GIEC : catastrophes, bouleversements climatiques et solutions, tout ce qu'il faut savoir

Les effets du changement climatique sur nos sociétés

En outre, les effets du dérèglement climatique augmentent en probabilité et en gravité au fur et à mesure les émissions de gaz à effet de serre s’accumulent dans l’atmosphère. Une augmentation tout sauf linéaire. 

Par exemple, 0.5 °C de réchauffement supplémentaire triplerait l’impact sur la biodiversité des insectes dont nous dépendons fortement pour notre alimentation. En effet, les insectes pollinisateurs sont le premier chainon de la chaîne alimentaire, mais contribuent aussi à la limitation de la prolifération de nuisibles, de maladies, etc. 

👉 Un autre exemple : une étude parue dans la revue Nature démontre que le changement climatique pourrait déclencher la prochaine pandémie. 

D’autre part, toute augmentation supplémentaire de température risquerait de nous faire dépasser la limite planétaire liée au réchauffement climatique. Son dépassement marquerait un véritable tournant, puisque les conséquences du changement climatique seront brutales, imprévisibles et irréversibles. 

Pour mieux comprendre le concept de limite planétaire, nous pouvons comparer le comportement des sociétés humaines à une assiette posée au bord d’une table dans le noir. On pousse petit à petit, une fois, deux fois, trois fois, rien ne se passe. Jusqu’à ce que l’assiette tombe et se brise. 

Au-delà de ce point de basculement climatique, qui se situe autour de 2 °C de réchauffement global maximal, les écosystèmes et les sociétés humaines vivront un véritable bouleversement dont nous ne maîtriserons plus l’amplitude. À notre sens, cela constitue le seul vrai plongeon dans l’inconnu. 

Sans stratégie bas carbone, les entreprises ne seront pas épargnées par le réchauffement climatique

Il va sans dire que les impacts majeurs du réchauffement climatique sur les sociétés se reflètent sur les entreprises. Cela s’illustre par : 

la disruption de la chaîne d’approvisionnement [carbone 4] ;

la baisse du pouvoir d’achat et donc de la demande [Challenges] ; 

la hausse du coût de l’énergie et des matières premières [FNH] ;

la destruction d’infrastructures [AIP] ;

les difficultés de recrutement et de disponibilité de la main-d'œuvre [usine digitale] ;

l’augmentation des coûts d’assurance [McKinsey] ;

la disruption majeure d’activité liée à des crises sanitaires [Les Échos].

Le constat est sans appel : le changement climatique ne sera pas sans conséquence pour le tissu économique mondial. 

Tous ces effets encore imprévus - auxquels il faudra sans doute en rajouter d’autres - sont regroupés sous le terme « risques et de contraintes physiques liés aux changements climatiques ». 

Ils génèrent des coûts que l’on appelle « coûts d’adaptation » - on parle parfois de coût de l’inaction - liés aux réparations à réaliser suite aux impacts du changement climatique. Ces coûts d’adaptation vont donc aller croissant dans les années à venir, vers des niveaux difficilement quantifiables et très incertains. 

👉 Par exemple, selon une étude menée par France Assureurs, sans action de notre part et compte tenu de l’intensification des événements climatiques extrêmes, la facture cumulée entre 2020 et 2050 devrait atteindre 143 milliards d’euros - soit 69 milliards d’euros supplémentaires par rapport à la période 1989-2019.

Comment élaborer la stratégie bas carbone de son entreprise ?

Tant que rien n’est entrepris pour réduire les émissions de gaz à effet de serre - la mise en place d’une stratégie bas carbone -, ces coûts d’adaptations pourraient être plus conséquents et menacer la pérennité de votre entreprise. Pourtant, de nombreux leviers ont été identifiés pour réduire les émissions de gaz à effet de serre mondiales. Voici les plus importants. 

L’usage de la technologie constitue une solution pour lutter contre le réchauffement climatique, que ce soit dans le domaine énergétique, de captage et stockage du carbone ou encore automobile. Bien que l’innovation ne soit pas suffisante, elle est essentielle pour le respect des accords de Paris à l’échelle mondiale.

L’optimisation et les innovations technologiques ont notamment permis à l’industrie française de maîtriser ses flux énergétiques et matériels pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 27 % depuis 1990. 

D’un point de vue des entreprises tertiaires - qui consomment les produits manufacturés - la substitution de produits carbonés par des produits bas carbone constitue un des leviers majeurs. 

Cela s’illustre par l’achat systématique d’appareils électroniques reconditionnés plutôt que neufs. Cette option simple et actionnable permet de réduire significativement les émissions liées aux immobilisations numériques. 

👉 Il en va de même pour les consommations énergétiques ! L’électrification - accessible par tout un chacun - est de mise pour remplacer le gaz, le fioul ou le carburant.

La sobriété constitue le dernier levier majeur de la transition écologique. Elle désigne la réduction volontaire de certaines consommations - qu’elles soient matérielles ou énergétiques. 

Si cette dernière est paradoxale dans nos sociétés où l’abondance règne depuis (trop) longtemps, elle n’est pas synonyme de privation. 

La sobriété invite simplement à reconsidérer les consommations au regard des besoins. 

Malgré son usage encore très récent, elle a déjà trouvé sa place au cœur de la justice environnementale, puisqu’elle invite les mieux lotis à faire le plus d’efforts. 

Elle est par ailleurs nécessaire à l’échelle mondiale pour respecter les objectifs de l’Accord de Paris, notamment ceux concernant les consommations de viande, le recours à l’aviation et la possession de voiture individuelle. [ADEME] 

En tant qu’entreprise, la sobriété se traduit par la reconsidération de l’utilité de certaines actions. Par exemple, est-il nécessaire de fournir des SUV de fonction à des collaborateurs travaillant en milieu urbain, quand ils possèdent déjà un véhicule ou n’ont pas l’utilité d’un véhicule si spacieux ?

Comment diminuer le coût de sa stratégie bas carbone ?

Des coûts parfois élevés, mais rentables

Chacun des leviers ci-dessus est à l’origine de coûts, que ce soit des coûts d’installation ou des coûts d’opportunité. 

À titre d’exemple, le passage de systèmes de chauffage à une pompe à chaleur implique des frais d’installation. D’un autre côté, la suppression des voitures de fonction comporte un risque au niveau de l’emploi. En retirant cet avantage, l’entreprise ne parviendra peut-être pas à embaucher aussi facilement qu’auparavant. 

👉 Ces coûts - qu’on appelle coûts de mitigation - sont nécessaires pour diminuer votre empreinte carbone.

Ces coûts diffèrent ainsi d’une action à l’autre et sont parfois compensés par les retombées positives de ces actions. À titre d’illustration, le renouvellement d’une flotte de véhicules thermiques au profit de véhicules électriques plus petits permet de bénéficier d’une rentabilité à la fois environnementale et économique. [ADEME]

De même, toutes les mesures liées à l’optimisation ou la sobriété ont généralement des rendements économiques positifs, puisqu’elles permettent de faire autant avec moins de ressources, et donc, de frais. 

Prioriser les actions de réduction des émissions - faites appel à Greenly 

À ceux qui répondent qu’il est impossible de réduire les émissions, chez Greenly, nous répondons que n’importe quelle entreprise souhaitant réduire ses émissions peut se donner les moyens de réaliser ses ambitions. 

C’est pourquoi nous proposons à tous nos clients une bibliothèque d’actions diversifiées. Issue des dernières stratégies sectorielles de décarbonation, cette dernière est triée en fonction de leurs objectifs et personnalisée par nos experts.

Chez Greenly, nos services et notre équipe d’experts climat sont à vos côtés pour vous aider à prioriser les différentes actions de réduction disponibles en fonction de leur impact sur le climat et leur rentabilité économique. À terme, il s’agit de construire une stratégie bas carbone efficace et à la hauteur des enjeux. 

👉 Cela vous intéresse ? Découvrez notre plateforme lors d’une démonstration gratuite et sans engagement.

Greenly - La plateforme des entreprises engagées pour le climat

À noter : Au vu des enjeux évoqués en introduction, nous vous encourageons néanmoins à ne pas vous restreindre à des actions qui vous sont économiquement profitables sur le court terme, mais à avoir une réflexion plus profonde sur la place de votre entreprise dans un monde bas carbone. Nous vous invitons donc à parcourir le plan de transformation de l’économie française et les différents scénarios de décarbonation de l’ADEME pour mieux vous projeter dans un monde compatible avec un réchauffement global de 1.5 ou 2 °C.

Face à l’urgence climatique, les entreprises font quotidiennement affaire au dilemme du prisonnier. De quoi s’agit-il ? Greenly clarifie ce concept dans cet article.

Dilemme du prisonnier et réchauffement climatique : agir sans attendre

La gravité du réchauffement climatique requiert une action, tant individuelle que collective. États, citoyens, entreprises… Tous sont concernés.
Cependant, malgré les mises en garde des scientifiques, cette mobilisation contre le changement climatique demeure timide - en atteste le record historique des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à l’énergie en 2022 (36,8 gigatonnes).  

Une question se pose donc : pourquoi votre entreprise devrait-elle passer à l’action, alors que d’autres minimisent, voire nient le réchauffement climatique ? Greenly s’est penché sur la question.

Dilemme du prisonnier, de quoi parle-t-on ?

Le dilemme du prisonnier est un concept pouvant s’appliquer à de nombreuses situations, y compris à la lutte contre le réchauffement climatique. 

Énoncé en 1950 par le mathématicien Albert Tucker, le dilemme du prisonnier désigne une situation où - sans coopération - il est rationnel pour chaque acteur individuel de prendre une décision optimale pour lui, mais dommageable pour le collectif. 

Lors d’un séminaire à l’Université de Stanford, le mathématicien a illustré ce concept en se servant de l’anecdote suivante : deux individus sont arrêtés sur le lieu du délit qu’ils viennent de commettre. Incarcérés sans possibilité de communiquer, ils sont ensuite interrogés séparément. 

Les policiers leur présentent alors trois choix : 

si un seul des deux avoue et dénonce son complice, il sera libéré. L’autre écopera quant à lui, de la peine maximale (huit ans de prison) ;

si les deux nient leur implication et en l’absence de preuves, ils seront condamnés à une courte peine (un an) ;

si les deux avouent, chacun verra sa peine réduite à quatre ans.

Au niveau individuel, il est plus rationnel de dénoncer l’autre pour obtenir une réduction de peine. A contrario, au niveau collectif, il est plus rationnel de nier toute implication. Cependant, sans communication préalable, les prisonniers ont de grandes chances d’avouer et de se dénoncer mutuellement - ce qui leur causera le plus grand tort.

Case départ de cet épisode de nos voyages au pays des maths : la prison. Deux prisonniers doivent choisir entre coopération et trahison sans se concerter. C'est le fameux dilemme qui nous emmènera au coeur de la théorie des jeux et nous fera réfléchir mathématiquement à une question très philosophique : a-t-on intérêt à collaborer ?

Disponible jusqu'au 29/07/2026 

#Maths #Prisonnier #ARTE

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Le dilemme du prisonnier | Voyages au pays des maths | ARTE

Le dilemme du prisonnier au sein d’une entreprise écoresponsable

Le dilemme du prisonnier s’applique dans diverses situations, dont la lutte contre le réchauffement climatique.

Dans notre article intitulé « Stratégie bas carbone en entreprise : pourquoi est-elle indispensable ? », nous avions évoqué : 

les coûts d’adaptation - nécessaires pour réparer les dommages liés au changement climatique, mais également pour adapter infrastructures et activités ;

les coûts de mitigation - c’est-à-dire les frais résultant des différentes actions liées à la réduction d’un impact carbone donné. 

Dans ce contexte, le dilemme du prisonnier se poserait de la façon suivante : pourquoi se donner la peine d’engager des frais de mitigation, alors que l’inaction des autres entreprises engendrera à coup sûr la création de nouveaux coûts d’adaptation - et ce, quel que soit le niveau de réduction des émissions atteint par sa propre structure ? 

À d’autres échelles, l’entreprise qui déciderait de réduire ses émissions subirait donc une double peine, au même titre que le prisonnier dénoncé par son complice alors qu’il a tenu parole. Malgré les efforts fournis par une organisation donnée, les bénéfices demeureraient insuffisants pour enrayer la multiplication des coûts d’adaptation. Pourquoi donc s’embêter à engager à la fois des frais de mitigation et des frais d’adaptation ? 

Il ne s’agit pas là du seul exemple :   

Éric Zemmour refuse catégoriquement d’envisager la mise en place d’une politique climat ambitieuse, sous prétexte que les pays les plus émetteurs ne font pas de même (« La France représente 1 % des émissions de CO2 ») ; 


l’aérien et le numérique jugent leur contribution respective aux émissions de GES “minimes” et souhaitent voir d’autres secteurs plus émetteurs agir avant d’engager eux-mêmes des frais de décarbonation.

👉 En suivant cette logique, aucune entreprise, pays ou secteur n’aurait donc intérêt à se lancer dans une stratégie de réduction de ses émissions. 

Comment dépasser ce dilemme du prisonnier ?

Anticiper la réglementation pour réduire ses coûts de mitigation

Une première façon de répondre à ces arguments est d'insister sur la réglementation future autour des émissions.

En tant que groupements collectifs, les États perçoivent l’intérêt de tous. Ils tentent donc de forcer les entités en leur sein à collaborer, en pénalisant celles qui ne s’engagent pas. 

La coopération mise en place lors de l’Accord de Paris a fait sauter un premier dilemme du prisonnier à l’échelle étatique. 
Dans son sillage, plusieurs pays se sont engagés à réduire leurs émissions directes et indirectes, initiant alors le développement de nouvelles réglementations environnementales - à l’image de la stratégie nationale bas-carbone en France. 

Malheureusement, ces réglementations sont trop peu ambitieuses et ne permettent pas de remplir nos objectifs en matière de réduction d’émissions. 

Pour preuve : d’après le GIEC, si toutes les législations envisagées sont mises en œuvre, le réchauffement climatique moyen à la surface de la Terre dépassera + 3 °C.

Pour respecter leurs engagements, les états vont donc devoir durcir et élargir les contraintes réglementaires. Cela augmentera les coûts de mitigation pour les entreprises.

👉 À titre d’exemple, le marché européen du carbone (actuellement limité aux industries les plus émissives) a longtemps présenté des prix trop bas pour l'émission d’une tonne de carbone - en comparaison des coûts d’adaptation. Toutefois, ce marché a vocation à intégrer l’ensemble des émissions du territoire européen et atteindre 130 € la tonne d’ici 2030. 

De plus, alors que nous nous obstinons dans l’inaction, les coûts de mitigations vont croissant. En effet, plus la transition est abrupte, plus les dommages économique et coûts sont forts.

En ce sens, la situation initiale du dilemme du prisonnier - qui était défavorable à l’entreprise ayant anticipé une démarche de réduction - tendrait à s’inverser dans le futur. 

Engranger des co-bénéfices adaptation-mitigation

Par ailleurs, il est faux de penser que celui qui diminue son impact carbone paie le même coût d’adaptation que son voisin n’ayant entrepris aucune action.

De nombreux investissements de mitigation donnent lieu à des bénéfices en termes de coûts d’adaptation. Deux exemples : 

l’électrification de l’activité d’une entreprise permet de se protéger de la volatilité des prix du gaz ;

la mise aux normes d’un bâtiment sur le plan thermique aide une entreprise - et ses employés - à se protéger des vagues de chaleur (lesquelles vont s’intensifier et se multiplier). 

En l’état, certaines initiatives en matière de réduction des émissions sont également des initiatives d’adaptation. 

En limitant la dépendance de votre entreprise aux énergies fossiles, vous réduirez votre exposition aux troubles économiques engendrés par une transition forcée (disruption de la chaîne d’approvisionnement, volatilité des prix des matières premières, inflation, etc.).

Agir sur les émissions de votre entreprise vous permettra de vous protéger en partie des effets du changement climatique. Même si vos concurrents ne mettent aucune action en place.

De façon plus générale, sur un marché ultra-concurrentiel et sensible à ces sujets, se distinguer de la concurrence via une offre moins carbonée peut aussi permettre d’entraîner d’autres entreprises dans son sillage.  

Il en va de même pour toute chaîne de valeur : l’ambition d’un seul des maillons de ladite chaîne peut mener à des efforts de décarbonation à travers l’ensemble de la chaîne. Ainsi, des secteurs entiers peuvent progresser grâce à l’initiative d’un seul acteur. Or, dans ce cas de figure, les réductions d’émissions deviennent significatives et réduisent les coûts d’adaptation de tous.

Profiter des opportunités économiques de la transition

L’OCDE souligne les avantages compétitifs des « first-movers ». Œrsted, par exemple. 

En 2008, cet énergéticien danois a anticipé l’évolution du marché en basculant abruptement son mix énergétique d’une majorité de charbon vers des énergies éoliennes renouvelables. 
Bien que l’entreprise ne soit pas encore complètement indépendante de l’usage des énergies fossiles, sa progression a ainsi été plus forte que celle du marché. Une avancée récompensée par les investisseurs. 

Le gain d’un tel avantage compétitif se vérifie d’ailleurs sur des marchés moins techniques, où le marketing constitue un outil clé. De fait, depuis quelques années, le développement durable s’est généralisé au sein des stratégies de communication. Cependant, les messages ne sont pas toujours alignés sur l’impact environnemental réel des entreprises ou de leurs produits - une pratique mensongère nommée « greenwashing ».

👉 En ce sens, justifier d’une trajectoire de réduction de vos émissions alignée avec les objectifs de l’Accord de Paris constitue un atout marketing - une façon de se prémunir des accusations de greenwashing et d’étendre votre activité !

Comment passer outre le dilemme du prisonnier dans le cadre de votre entreprise ?

Prendre en compte la responsabilité de chacun

Cet article s’est concentré sur l’aspect économique d’une stratégie de réduction des émissions. Pourtant, au-delà du succès économique d’une entreprise, le dilemme du prisonnier pose des questions morales.

Une des questions est celle de la responsabilité - celle des entreprises, mais aussi des individus qui la composent. Si les entreprises sont des structures économiques orientées vers le profit, elles demeurent composées d’êtres humains ayant des sensibilités morales.

Même si cette responsabilité est diluée par la présence de nombreux acteurs, les employés contribuent à l’impact de l’entreprise par leur force de travail. Chacun doit donc déterminer s’il souhaite apporter - ou non - sa contribution dans la lutte contre le réchauffement climatique.

👉 Si vous avez aimez cet article, n'hésitez pas à consulter celui-ci : "Stratégie bas carbone en entreprise : pourquoi est-elle indispensable ?"

Bâtir une stratégie bas carbone ambitieuse avec Greenly

Malgré un apparent dilemme du prisonnier, les entreprises entamant une stratégie de réduction de leurs émissions peuvent ressortir gagnantes. Bien sûr, nous ne pouvons être catégoriques à ce sujet, car cela dépend de la justesse avec laquelle la stratégie climat est élaborée. 

Chez Greenly, nous proposons cependant d’aider les entreprises à naviguer au cœur de cet environnement complexe, afin d’élaborer les stratégies de réduction les plus bénéfiques possible. 

Vous êtes intéressés ? Lancez-vous dans cette démarche vertueuse en réservant votre démonstration gratuite.

Copywriter spécialisée sur les thématiques liées à l’environnement

Copywriter spécialisée sur les thématiques environnementales, Ines Gendre a rejoint les équipes de Greenly en 2022.

Ines Gendre

Titulaire d’un master en marketing, Ines Gendre a étudié puis débuté son parcours professionnel au sein de l’industrie des produits de la grande consommation. Après reconversion, elle rejoint Greenly en 2022 et devient copywriter spécialisé sur les thématiques environnementales, afin d’apporter son expertise aux entreprises et individus souhaitant appréhender les multiples problématiques liées au changement climatique, à la transition écologique et aux différents impacts de ces derniers sur le fonctionnement de notre société comme de son tissu économique. Formée aux principaux outils intervenant dans l’élaboration d’une stratégie climat (Bilan Carbone®, ACV, contribution carbone, etc.), elle étudiera, à compter de janvier 2025, les sciences politiques à l’université d’Oxford en Angleterre.

Emma Lefebvre

Diplômée en littérature, Emma Lefebvre devient rédactrice web SEO en freelance après un parcours dans le commerce et le monde associatif. Suite à une spécialisation “marketing digital, média et communication responsable”, elle rejoint Greenly en 2024 en tant qu’apprentie référente SEO et copywriter.

Kara a rejoint l'équipe de Greenly en 2023 en tant que copywriter SEO.

Kara Anderson - Greenly

Kara a étudié le droit à l’Université de Glasgow et le droit international à l’Université d’Aberdeen, avant de se lancer dans une carrière davantage orientée vers la création. D'abord en tant que gestionnaire de contenu à Londres puis, après son arrivée à Paris en 2019, en tant que copywriter indépendant. En 2023, elle rejoint finalement l’équipe de Greenly et devient rédactrice SEO spécialisée sur le marché britannique.  

Justine Dumont

Justine a toujours été passionnée de lecture et d’écriture. En 2019, elle parvient justement à faire de sa passion son métier, en devenant rédactrice web indépendante. Motivée par ses engagements écologiques, elle rejoint l’équipe de Greenly en 2022 afin de mettre ses compétences au service de la cause environnementale. 

Quentin Bourhis

After starting her career at Greenly in 2022, she started a joined PhD between the startup and CentraleSupélec to improve company sustainabilty performance ratings.

Marine Kohler

Marine has an engineering degree from the French school of CentraleSupélec and a masters in Industrial Management from DTU. After starting her career at Greenly in 2022, she started a joined PhD between the startup and CentraleSupélec to improve company sustainabilty performance ratings.

Diplômée de l’emlyon, Clémence a lancé le podcast ENFIN pour donner la parole à la nouvelle génération engagée dans la protection du climat avant de rejoindre Greenly.

Clémence Thomin

Diplômée de l’emlyon, Clémence a lancé le podcast ENFIN pour donner la parole à la nouvelle génération engagée dans la protection du climat. Au cours de ses rencontres, elle a découvert Greenly et a décidé de les rejoindre pour lancer ESG Connect, une communauté dédiée aux acteurs engagés pour la protection de l’environnement. L’objectif est de partager des bonnes pratiques pour lutter à notre échelle contre le réchauffement climatique.

Alexis Normand

Alexis a 37 ans et est diplômé d'HEC et de Sciences-Po. Après ses études, il passe 2 ans à travailler dans le conseil en politique publique, puis 6 ans chez Withings, leader des objets connectés, où il créé le département santé, pour continuer ces activités à Boston aux Etats-Unis. Après le rachat de la société par Nokia, il rejoint la startup Embleema et passe par Techstars, un des meilleurs incubateurs de startups aux Etats-Unis, où il prend goût à l'entrepreneuriat. Son retour en France est l'occasion de mettre toutes ses expériences au service de l'écologie, alors que la crise climatique invite chacun à agir.

Arnaud Delubac

Arnaud, 25 ans, a suivi une formation de designer et de communication digitale à l'INSEEC avant d'intégrer le Master Entrepreunariat de l'ESSEC-CentraleSupélec. Passionné de réseaux sociaux depuis l'adolescence, il a créé l’une des plus grosse communautés sur Twitter en France avant d'intégrer l'équipe de communication digitale du cabinet du Premier Ministre à Matignon, pour ensuite gérer directement celle des Secrétaires d'Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi puis Cédric O. C'est là qu'il s'est forgé une conviction forte sur la nécessité de mettre la tech au service des grandes causes de notre époque.

Matthieu Vegreville

Matthieu, 28 ans, est un ingénieur diplômé de l'école Polytechnique et de Télecom Paris, formé à la data science chez Withings, où il a travaillé sur les algorithmes de détection d'activité des montres, et a développé une activité d'études de santé pour que les objets connectés puissent servir à mieux suivre certaines pathologies. Avec son frère, qui a la même formation, il participe depuis longtemps à des projets de data science en parallèle. Face à l'urgence de la crise climatique, il a décidé de mettre son savoir-faire au service de l'écologie. 

Émissions de GES lors d'un paiement physique via DeluPay 

Dans le cadre du lancement de leur application, DeluPay a souhaité mesurer l’empreinte carbone de ce nouveau moyen de paiement afin de démontrer la réduction de l'empreinte environnementale lors d'un processus de transaction. 

La solution de paiement mobile DeluPay mesure son empreinte carbone !

Découvrez l'intégralité des résultats de l'étude d'émissions évitées 2023 de DeluPay !

Créé en 2022, DeluPay est un moyen de paiement qui remplace les réseaux de cartes bancaires VISA, MasterCard, CB, pour régler les achats quotidiens en magasin ou sur internet.

En éliminant le principe même des cartes bancaires, DeluPay propose un paiement beaucoup plus sûr, plus rapide, plus simple et beaucoup plus équitable puisqu’elle ne coûte. quasiment rien aux commerçants. Les particuliers paient avec une application mobile et les commerçants encaissent sans autre équipement qu’un smartphone existant. Moins d’intermédiaires, pas d’équipements donc des coûts d’encaissements réduits pour les commerçants et un impact minime sur la planète.

Le moyen de paiement d’une nouvelle génération devait forcément contribuer à relever le plus gros défi de cette génération, celui du changement climatique. Nous ne nous étions pas fixés d’objectif chiffré, seulement de réduire les impacts au strict minimum. Ce n’est qu’en comparant DeluPay aux autres moyens de paiement, grâce à Greenly, que nous avons pris la mesure de ce que nous avons réussi à faire : -91% par rapport aux cartes bancaires ! -98% par rapport au cash ! Et encore, nous n’avons pas pu réellement quantifier le fait d’éviter les multiples échanges et la duplication de données entre les nombreux acteurs de la chaîne du paiement traditionnel.

Pourquoi avoir réalisé une étude d’émissions évitées ? 

Réduire l’impact d’un paiement au minimum est au fondement de DeluPay. Les moyens de paiements traditionnels (espèces, cartes, chèques) sont tous des moyens de paiement physique. Ils requièrent tous d’extraire de la matière, la transporter, la transformer, la distribuer. Certains comme les cartes ont une date de péremption et doivent être remplacés, la plupart des gens en ont plusieurs.

Pour fonctionner un paiement par carte requiert un terminal de paiement, pour retirer de l’argent il faut un distributeur automatique de billets. Pour qu’une transaction fonctionne avec les moyens de paiement traditionnels, il faut l’intervention de nombreux intermédiaires. Avec DeluPay nous avons voulu faire le ménage, pas d’intermédiaires, pas de chaîne matérielle propre, pas de date d’expiration : une transaction a lieu entre un équipement existant du commerçant (smartphone, caisse enregistreuse) et le smartphone existant du client.

Nous étions certains d’éviter beaucoup d’émissions de CO2 mais encore fallait-il le quantifier de manière robuste et méthodologique. L’écologie est heureusement au cœur des préoccupations mais certaines marques sont très opportunistes sur le sujet. Ça n’est pas notre cas et nous avons longtemps préféré ne rien dire, plutôt que dire des choses imprécises ou fausses.

Pourquoi choisi de travailler avec Greenly ? 

Travailler avec Greenly nous a permis d’objectiver notre démarche avec une méthodologie robuste et transparente. Nous avons apprécié que Greenly partage notre souhait de mettre à disposition les sources, les calculs et l’ensemble des composantes de l’étude pour que d’autres puissent vérifier de leur côté s’ils le souhaitent. Greenly a un savoir faire reconnu et l’outil d’ACV est très prometteur dans la perspective de mise à jour des résultats quand de nouvelles données seront disponibles.

Avez-vous déjà des actions RSE mises en place au sein de votre entreprise ? 

DeluPay est une très jeune société (moins de 3 ans) et nous nous concentrons sur la conception de notre solution avec l’objectif de réduire à néant l’impact environnemental du paiement, sans passer par des dispositifs de compensation, ou autre procédé souvent controversé. C’est notre premier engagement.

Pour le reste de nos impacts, nous avons déjà des pratiques qui limitent énormément notre impact : peu de trajets domicile travail car une grande majorité de l’équipe est en télétravail, 0 papier, déplacements en train ou en transports en commun, vigilance avec les fournisseurs. Pour l’instant cela ne fait pas partie d’une politique développement durable à proprement parler, mais c’est un axe que nous envisageons dans le futur, afin d’objectiver les bonnes pratiques et identifier les axes d’amélioration.

Aviez-vous une idée de l’impact environnemental de votre produit avant de le calculer avec Greenly ? 

Nous avions la conviction que la conception de DeluPay éliminait la plupart des émissions générées par les autres moyens de paiement, mais nous n’avions pas d’idée précise. Quand Greenly nous a présenté les premiers résultats intermédiaires, notre réflexe a été de revoir tous les calculs, tellement les chiffres étaient impressionnants.

Quelques calculs de coin de table circulaient en interne, mais rien de suffisamment robuste pour pouvoir communiquer publiquement. De toute façon, il y a beaucoup de suspicion - sans doute à raison - sur le discours environnemental des marques, car beaucoup n’ont aucun scrupule en la matière. Il est donc indispensable de fonder son discours sur le travail d’un tiers reconnu pour sa crédibilité, son indépendance et sa rigueur méthodologique. C’est la raison pour laquelle nous avons interrogé Greenly.

Quels enseignements tirez-vous de cette étude ? 

L’étude démontre que DeluPay est le moyen de paiement qui émet le moins d’émissions parmi ceux qui ont été comparés : les cartes bancaires en magasin, les cartes bancaires sur internet, et les espèces. Non seulement DeluPay est moins émetteur, mais la différence est très significative : un paiement DeluPay réduit de 91% les émissions par rapport à un paiement par carte bancaire en magasin et de 98% par rapport à un paiement en espèces. Cela s’explique par le caractère totalement dématérialisée de DeluPay, qui n’utilise qu’une quantité infinitésimale d’énergie d’un appareil existant (le smartphone) pour fonctionner. Le fait que les données soient traitées sur des serveurs en France est également intéressant vue la faible intensité carbone du mix français comparé à ceux d’autres pays.

DeluPay permet de réduire massivement les émissions de CO2 comparé aux principaux moyens de paiement. Nous en étions certains, mais nous avions besoin d’en apporter la preuve avant d’assumer totalement de communiquer au grand public les bénéfices de DeluPay en matière de changement climatique.Nous sommes très redevables à Greenly pour le travail rigoureux qui va nous permettre d’apporter des réponses à ceux, toujours plus nombreux, qui cherchent à réduire leur impact sur le changement climatique.

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Lorsque Metsys a contacté Greenly, elle avait pour objectif de réaliser un premier Bilan GES simplement, d’évaluer la part que pourrait avoir le numérique dans le bilan carbone, s’engager et engager son écosystème. Aujourd'hui Metsys décroche son deuxième badge vers sa trajectoire Net Zéro !

Metsys réalise son Bilan Carbone avec Greenly !

Metsys réalise son Bilan Carbone et décroche son deuxième badge dans sa trajectoire Net Zéro

Metsys Bilan Carbone - Greenly

La responsabilité sociale et environnementale est importante pour Metsys. En collaboration avec Greenly, nous nous engageons activement et quotidiennement dans l'action en faveur du climat.

<h2>Parcours & Objectifs 🔍</h2><p>Metsys est un intégrateur de solutions de cybersécurité, d’infrastructure et de cloud. Depuis 10 ans, nous conseillons nos clients dans la conception et dans la mise en place de leur système d’information.</p><p>Créé sur des valeurs d’intégrité, de partage et de proximité, les collaborateurs Metsys se retrouvent autour d’une culture d’entreprise centrée sur l’humain. Nous mettons à disposition l’expertise de nos consultants pour guider les défis technologiques de demain et offrir une expérience digitale réussie.</p><p>Depuis sa création, Metsys place sa politique RSE au cœur de sa stratégie de développement. L’entreprise relève au quotidien les défis visant à faire cohabiter les trois piliers du développement durable : efficacité économique, équité sociale et qualité environnementale.</p><div class="container_img"><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/63332635877c5703091b9ec5_photo-groupe.jpg" loading="lazy" /></div><h2>ITV - Pourquoi avoir réalisé un Bilan GES ? 🤔</h2><p>Afin de pouvoir diminuer nos émissions de GES il est primordial de pouvoir les mesurer au préalable. C'est pour cette raison que nous avons souhaité calculer notre bilan Carbone avec Greenly. Ceci nous a permis de mieux structurer notre politique environnementale et de dessiner notre plan d'action pour diminuer nos émissions à long terme.&nbsp;</p><p>‍</p><h1><strong>Pourquoi Greenly?&nbsp;🌱</strong></h1><p>La solution de mesure proposée par Greenly est simple et intuitive. De plus, c'est une solution reconnue du marché et qui a obtenu le label French Tech Green 2020. Ceci fait que nous avons souhaité travailler avec Greenly.&nbsp;</p><p>‍</p><h2>Le point sur l'empreinte carbone de Metsys 📊</h2><p>L'empreinte carbone de Metsys ne tient pas seulement compte des émissions directes et liées à l'énergie (Scope 1 &amp; 2) mais aussi des émissions indirectes causées par les prestataires de services et les services utilisés par l'entreprise (Scope 3). En additionnant toutes les émissions, Metsys avait une empreinte de 2.2kt CO2e en 2021.</p><div class="container_img"><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/633326ad03cfc03ca0749ee7_global-agencement-metsys-37.jpg" loading="lazy" /></div><h2>Metsys veut diminuer ses émissions 📉</h2><p>La définition du plan d’actions est en cours. Pour atteindre notre objectif, nous comptons impliquer des responsables par chaque grand poste d’émissions. Nous allons donc nous attacher à définir ensemble, avec les départements concernés, les actions de réduction possibles et impactantes, tout en respectant les objectifs de développement et de croissance de 2023 qui sont définis.</p><div class="container_img"><img src="" loading="lazy" /></div><h2></h2>

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Conscient et soucieux de son impact environnemental, Metsys mesure ses émissions et renforce son engagement pour le climat. 

Metsys réalise son bilan GES et obtient la médaille Or !  

Conscient et soucieux de son impact environnemental, Metsys mesure ses émissions et renforce son engagement pour le climat.

Metsys réalise son bilan GES et obtient la médaille Or !

Metsys est un intégrateur de solutions de cybersécurité, d’infrastructure et de cloud. Depuis 13 ans nous conseillons nos clients dans la conception et dans la mise en place de leur système d’information. 

Fort de plus de 500 collaborateurs implantés sur l’ensemble du territoire national (Paris, Rennes, Nantes, Brest, Tours, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Aix-en-Provence, Lyon, Strasbourg & Lille), nous réalisons en 2023 un chiffre d’affaires de plus de 80M€. L’alliance de l’expertise pointue de nos consultants associée à notre réseau de partenaires, nous confère la pertinence nécessaire pour répondre aux problématiques de nos clients dans un contexte en perpétuel évolution.

Responsable RH et Recrutement - Directrice des RH et RSE

La prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux sont des éléments déterminants dans la performance de Metsys. Nous souhaitons développer une politique interne et externe qui soit une démarche engagée, sincère et bâtie sur le long terme. Greenly nous a permis de mieux comprendre notre impact environnemental, d’améliorer et de transformer nos pratiques. Nous sommes convaincus que cette dynamique améliore le fonctionnement global de l’entreprise, la rend plus efficace, plus agile et plus durable.

Réaliser un bilan carbone est une étape primordiale pour mettre en place et améliorer notre politique de réduction. Sans une compréhension et des données adéquates, il nous est impossible de fixer des objectifs. Il nous est donc apparu logique de réaliser un Bilan Carbone, afin de s’aligner aux objectifs de développement et de croissance. 

Nous avions déjà une idée de nos émissions de gaz à effet de serre avant l'enquête, mais cela nous a permis de les quantifier et surtout remettre en place de nouvelles actions RSE à déployer au sein de nos agences, pour sensibiliser et engager nos collaborateurs.

Le point fort de Greenly est sa plateforme intuitive. Nous avons pu compléter le formulaire sans aucune difficulté. Au moindre questionnement, un expert climat Greenly est disponible pour nous aider. 

Également, nous avons choisi Greenly car c’est l’un des pionniers dans la comptabilité carbone. Sa certification B Corp ainsi que son expérience et sa large clientèle nous ont donné confiance. 

Les experts Greenly ont pu d'autant plus nous promulguer des conseils dans la mise en place de nouvelles actions qui ont été très appréciables.

Le point sur l'empreinte carbone de Metsys 📊

Nos résultats nous ont montré que nous émettons 3.7 ktCO2e par an. 

Une façon de réduire nos émissions a notamment été de mettre en œuvre une politique d’achat responsable en maximisant nos achats avec des fournisseurs engagés dans le reporting environnemental. 

Nous mettons un point d’honneur à adopter des pratiques toujours plus éthiques et durables au fil des années afin de contribuer efficacement à l’amélioration du monde dans lequel nous vivons mais également à la protection de notre environnement. Nos collaborateurs participent régulièrement a des ateliers "fresques du climat" notamment pour les sensibiliser aux bonnes pratiques pour nous aligner sur l'objectif zéro émission. 

Autre point d'honneur, nos déplacements, notre flotte de véhicule est équipée de moyens de locomotion hybrides, et nous maximisons les déplacements en train entre les agences. 

Chaque année nos collaborateurs sont également en interne invités à participer au Digital Clean up day.

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André Chenue est le premier logisticien international du monde de l’art. Conscient de l’impact de ses activités sur l’environnement, André Chenue réalise pour la 2ème année consécutive son bilan carbone avec Greenly.

André Chenue poursuit son engagement pour le climat !

André Chenue est une société familiale fondée en 1760, spécialisée dans le transport et la conservation d'œuvres d’art. Depuis plus de 260 ans, nous avons développé et amélioré des savoir-faire uniques qui nous permettent aujourd’hui d’assurer toutes les prestations relatives à la logistique de l’art, de l’emballage jusqu’à l’accrochage, qu'il s'agisse d’une seule œuvre ou d'une exposition d’envergure mondiale. Nous sommes très fiers de nos traditions que nous mettons au service de l’art ! 

Faire un bilan carbone permet de mesurer précisément où l’entreprise se situe en termes d’impact environnemental, grâce à une vision factuelle et chiffrée de ses émissions. Ensuite, nous sommes en mesure de prioriser les actions, de rationaliser les stratégies et d’investir les collaborateurs.