Zoom sur les 3 piliers du développement durable en entreprise : définitions, intérêts et exemples concrets d'application.

Tout savoir sur les trois piliers du développement durable

Vous ne savez pas si vous avez pour obligation légale de réaliser un bilan carbone ? Toutes les informations dans cet article.

Bilan carbone entreprise obligatoire : tout comprendre

Certaines entreprises sont soumises à l’obligation de réaliser un reporting NFRD. De quoi s’agit-il ? Quelles informations doivent être publiées ? Réponses.

La NFRD (Non Financial Reporting Directive)

Indispensable pour notre confort, mais fortement contributrice au réchauffement climatique, quel sort doit-on réserver à la climatisation ?

Le dilemme de la climatisation : que devons-nous faire ?

After starting her career at Greenly in 2022, she started a joined PhD between the startup and CentraleSupélec to improve company sustainabilty performance ratings.

Marine Kohler

Marine has an engineering degree from the French school of CentraleSupélec and a masters in Industrial Management from DTU. After starting her career at Greenly in 2022, she started a joined PhD between the startup and CentraleSupélec to improve company sustainabilty performance ratings.

Diplômée de l’emlyon, Clémence a lancé le podcast ENFIN pour donner la parole à la nouvelle génération engagée dans la protection du climat avant de rejoindre Greenly.

Clémence Thomin

Diplômée de l’emlyon, Clémence a lancé le podcast ENFIN pour donner la parole à la nouvelle génération engagée dans la protection du climat. Au cours de ses rencontres, elle a découvert Greenly et a décidé de les rejoindre pour lancer ESG Connect, une communauté dédiée aux acteurs engagés pour la protection de l’environnement. L’objectif est de partager des bonnes pratiques pour lutter à notre échelle contre le réchauffement climatique.

Alexis Normand

Alexis a 37 ans et est diplômé d'HEC et de Sciences-Po. Après ses études, il passe 2 ans à travailler dans le conseil en politique publique, puis 6 ans chez Withings, leader des objets connectés, où il créé le département santé, pour continuer ces activités à Boston aux Etats-Unis. Après le rachat de la société par Nokia, il rejoint la startup Embleema et passe par Techstars, un des meilleurs incubateurs de startups aux Etats-Unis, où il prend goût à l'entrepreneuriat. Son retour en France est l'occasion de mettre toutes ses expériences au service de l'écologie, alors que la crise climatique invite chacun à agir.

Arnaud Delubac

Arnaud, 25 ans, a suivi une formation de designer et de communication digitale à l'INSEEC avant d'intégrer le Master Entrepreunariat de l'ESSEC-CentraleSupélec. Passionné de réseaux sociaux depuis l'adolescence, il a créé l’une des plus grosse communautés sur Twitter en France avant d'intégrer l'équipe de communication digitale du cabinet du Premier Ministre à Matignon, pour ensuite gérer directement celle des Secrétaires d'Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi puis Cédric O. C'est là qu'il s'est forgé une conviction forte sur la nécessité de mettre la tech au service des grandes causes de notre époque.

Matthieu Vegreville

Matthieu, 28 ans, est un ingénieur diplômé de l'école Polytechnique et de Télecom Paris, formé à la data science chez Withings, où il a travaillé sur les algorithmes de détection d'activité des montres, et a développé une activité d'études de santé pour que les objets connectés puissent servir à mieux suivre certaines pathologies. Avec son frère, qui a la même formation, il participe depuis longtemps à des projets de data science en parallèle. Face à l'urgence de la crise climatique, il a décidé de mettre son savoir-faire au service de l'écologie. 

Exerçant d’abord sa profession de copywriter en tant qu’indépendante, elle intègre l'équipe de Greenly au début de l’année 2022.

Ines Gendre

Diplômée en 2016 d’un master en marketing de l’ESSCA, Ines Gendre débute son parcours dans le domaine de la gestion de projet. Rapidement, toutefois, elle décide de se reconvertir dans l’écriture, et de mettre ses compétences au service de l’impulsion de profonds changements sociétaux. Exerçant d’abord sa profession de copywriter en tant qu’indépendante, elle intègre l'équipe de Greenly au début de l’année 2022, afin de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique.

Justine Dumont

Justine a toujours été passionnée de lecture et d’écriture. En 2019, elle parvient justement à faire de sa passion son métier, en devenant rédactrice web indépendante. Motivée par ses engagements écologiques, elle rejoint l’équipe de Greenly en 2022 afin de mettre ses compétences au service de la cause environnementale. 

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GIEC 2022 : 5 questions pour comprendre le Chapitre 2

Le dernier rapport du GIEC propose une série de solutions en vue de lutter contre le réchauffement climatique. Découvrez notre résumé du Chapitre 2.

Le voici, le voilà, chaud devant : le second volet de notre série sur le sixième rapport du GIEC est disponible ! 💥 Pour ceux qui auraient eu l’outrecuidance de rater le premier numéro - on plaisante - notre objectif consiste à vulgariser les principales préconisations du sixième rapport du GIEC, afin que chacun d’entre nous puisse agir en faveur de l’environnement. 💚 À travers 5 questions, nous résumons ainsi les informations-clés du dernier volet, finalisé le 4 avril dernier. Aujourd’hui, nous nous focalisons sur le Chapitre 2. Que faut-il en retenir ? On vous dit tout dans cet article. 💬<blockquote id="">👉 Au cas où vous l’auriez manqué, n’oubliez pas de lire <a href="https://www.greenly.earth/blog-fr/giec-2022-5-questions-pour-comprendre-le-chapitre-1" id="">notre résumé du Chapitre 1</a> !</blockquote>‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d5b97156eb60d9895d_ELEhVazsL0mpuey2WEiIhaRd-QYIfqnbUm9GiAoKv4wKcqxzOT5SeieMd4H2-isZGu04VzMZX4J596KggrGaFZ6SXFi9HJCQhO_x-porTgZRUPbNP41V4qQ6A0BvaNzfmH9r48-pbCLhTsFVgw.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">🦠 La pandémie mondiale de Covid-19 a-t-elle eu un impact sur nos émissions de CO2 ?</h2>Souvenez-vous, en mars 2020 - au tout début de la pandémie - une grande partie du monde était totalement confinée. Et au milieu de cette panade aux dimensions monumentales, nous nous sommes, pour beaucoup, pris à espérer que cette mise à l’arrêt brutale de notre économie puisse avoir des conséquences positives sur l’environnement.Sauf que non. 😞 Malheureusement, le <a href="https://www.greenly.earth/blog-fr/giec-2022-definition-explication-challenges" id="">GIEC</a> est catégorique : le confinement s’est révélé bien trop court pour avoir un quelconque bénéfice environnemental. Certes, la pandémie mondiale de Covid-19 « a entraîné une forte baisse des émissions de CO2 provenant des combustibles fossiles et de l’industrie ». Mais les émissions mondiales sont reparties à la hausse, dès la reprise de nos activités fin 2020.Petite précision : les réductions d’émissions de gaz à effet de serre (GES) réalisées en 2020 - et associées au Covid-19 - ont bel et bien eu un impact sur l’augmentation annuelle des concentrations atmosphériques de GES. Seulement l’ampleur du phénomène n’était pas suffisante pour jouer un rôle notable dans la lutte contre le changement climatique.&nbsp;En outre, au mois de décembre 2020, les émissions de CO2 ont dépassé de 2 % le niveau des émissions de décembre 2019. 😅 Le pompon.<blockquote id="">Pour rappel, les émissions mondiales générées au cours de la décennie qui vient de s’écouler étaient déjà plus élevées qu’à n’importe quel autre moment de l’histoire de l’humanité.&nbsp;</blockquote>Nous n’enfoncerons pas davantage le clou - à ce train-là, il va finir sous terre. Notons tout de même que l’augmentation annuelle moyenne observée entre 2010 et 2019 (1,3 %) s’est quelque peu abaissée : elle était de&nbsp; 2,1 % entre 2000 et 2009.&nbsp;On se console comme on peut, pas vrai ? 🎉‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d6692cccd32113971c_GaYDsidqr4A4gR15iVRnqrpSA8otxDQWF0OCIGuwD02aRbbWSvwPr0Kap1YYgy_wwsrVzF0FtEZqc9Iwn2AZ3KRy3WayYXSu4WM3npCfY4lAVus8341w8ABz_Cw0ymaKZxnSS9F1JmYfKoZUyg.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">👀 Certains pays sont-ils parvenus à réduire leurs émissions de CO2 ?</h2>Oui ! 😍 D’après le GIEC, « un nombre croissant de pays parvient à réduire ses émissions de gaz à effet de serre depuis plus de 10 ans - dont certains, à des taux compatibles avec les scénarios visant à limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 °C ».Un bémol ? La réduction totale des émissions annuelles de ces pays demeure assez faible, en comparaison de la croissance des émissions mondiales. 😣<blockquote id="">De fait, les émissions mondiales de GES ne cessent d’augmenter dans tous les secteurs - plus particulièrement ceux des transports et de l’industrie.&nbsp;</blockquote>Cette croissance est notamment dûe à une hausse de la demande mondiale de produits et de services, mais également à « une tendance générale liée à l’augmentation de la surface par habitant, aux besoins énergétiques de nos bâtiments, aux distances parcourues, ainsi qu’à la taille et au poids de nos véhicules ».Toutefois, restons optimistes : il est à noter que la croissance annuelle moyenne des émissions de GES liée à l’approvisionnement énergétique a diminué, passant de 2,3 % entre 2000 et 2009 à 1,0 % entre 2010 et 2019. 👌Encore mieux : les efforts réalisés en matière d’intensité carbone contribuent à inverser la tendance. En cause ? Le remplacement du gaz par le charbon, l’expansion réduite de la capacité de production en charbon - en particulier en Asie de l’Est - et l’usage croissant des ressources renouvelables.&nbsp;‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d507449c406340c3ce_jAYH-1OAzrTHl9kTkc8KaFKJNXMOfvheNuDDX7vGEvsf0RmBYr0ezhF537JwXkk3xgMGZpJV8Eq5JUp3kl6kq-v19AORp3B2fW-_Q3UE9FTxyqhKVMlOOJP_sDeRQm6G4mC-HqA7to4ncp9uzA.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">🌏 Quels pays rejettent-ils le plus de CO2 ?</h2>Les pays développés, l’Asie et la région du Pacifique sont les plus gros contributeurs à la croissance des émissions de CO2 liées à la consommation.&nbsp;Oui, vous avez bien lu : l’Asie et la région du Pacifique comptent d’ores et déjà parmi les plus gros contributeurs à la croissance de nos émissions de gaz à effet de serre. 😵Dans les faits, ce n’est d’ailleurs pas si surprenant, puisque ces zones représentent à elles seules 52 % de la population mondiale actuelle.&nbsp;Dans le détail, le GIEC estime que « les 10 % d'individus les plus riches à l’échelle mondiale comptent pour 36 à 45 % des émissions globales de GES ». Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ces derniers sont en fait répartis sur les 5 continents : deux tiers se trouvent dans les régions développées et un tiers dans les économies émergentes.Cependant, ne nous y trompons pas : les émissions liées à la consommation des citoyens les plus pauvres et vivant au sein de ces économies émergentes demeurent 5 à 50 fois inférieures à celles de leurs homologues des pays développés.À ce sujet, le GIEC nous alerte d’ailleurs, car « l’accroissement des inégalités au sein d’un pays peut mettre en exergue les dilemmes de redistribution et de cohésion sociale ».&nbsp;Ainsi, ignorer l’aspect social de la transition écologique et la vulnérabilité de certaines populations peut « affecter la volonté des riches comme des pauvres à accepter les changements de mode de vie nécessaires pour réduire leurs émissions, ainsi que les politiques de protection de l’environnement ».Autrement dit, si nous voulons que tout le monde prenne part à cet effort collectif, il ne faut négliger personne ! 🤝‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d57b9d516bf412192e_8ZoCsnvl6SQCmBaJEsCzhHNXGl9RQKc2x8awdXT4DdGQtKJ5LxgvPFi3CdIOqgw4JwRBBtM-OFplylGh4FtRCczaClN6V0DWNmCS6WqrCx2ZSgsyYQFUwI_bipR6ZnxkylHYLSdpan10MV77Jw.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">🛍 Qu’en est-il du commerce mondial ?</h2>Allez, une autre bonne nouvelle (ce n’est pas comme s’il y en avait beaucoup 😅) : les améliorations liées à l’intensité carbone des produits commercialisés ont permis une réduction nette des émissions de CO2 dans le domaine du commerce international. 💪Concrètement, cette « diminution de l’intensité carbone des produits échangés a compensé l’augmentation du volume de ces échanges entre 2006 et 2016 ». Ouf !&nbsp;Pour rappel, les émissions issues des produits faisant l’objet d’échanges internationaux dépendent de la composition de la chaîne d’approvisionnement à l’échelle mondiale (secteurs, pays et processus de production). 🏭Ainsi, les pays développés sont plus susceptibles d’être des importateurs nets d’émissions de CO2, tandis que les pays en développement auront plutôt tendance à être des exportateurs nets.<blockquote id="">Bon à savoir : entre 2004 et 2011, les émissions de CO2 liées aux échanges entre pays en développement ont plus que doublé. En outre, le centre névralgique de ces activités d’échanges s’est déplacé de l’Europe et à l’Asie.</blockquote>‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d633df835b02a19c31_gpsVimuF2uJu1XEpwGy4AmecqDJavWUyo1V3y6IF8BFu2glnzhpmVt7FnEt70P4XcC10SrD8AmR5uTY-c3twxeUOLhkc_qgYdFfCKRpJHWhdZQSoqZWSFfGt_sOt5kCtrPs0ewPt3v-o699rpg.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">🌿 Comment peut-on intégrer les pays en développement dans la transition écologique ?</h2>Le rapport du GIEC est très clair : une transition énergétique mondiale et rapide qui faciliterait l’adoption des technologies bas-carbone dans les pays en développement - au travers d’un soutien principalement financier - pourrait faciliter l’atteinte des objectifs visant à limiter le réchauffement climatique. 🎯Et au regard de l’urgence à laquelle nous faisons face, on a envie de dire : c’est maintenant ou jamais, dans la mesure où les technologies bas-carbone ont observé de nombreux progrès depuis la publication du cinquième rapport du GIEC en 2014 - en termes de prix, de performance et de facilité d’adoption.&nbsp;<blockquote id="">Concrètement, cela signifie que le contexte pourrait faciliter une transition énergétique rapide si nous agissons (et nous le voulons, non ? 😇).</blockquote>Plus précisément, le déploiement et la diminution des coûts des technologies modulaires (solaire, éolienne, batteries, etc.) se sont produits plus rapidement que prévu.&nbsp;En outre, les technologies “à petite échelle” - comme l’énergie solaire - peuvent être adoptées plus rapidement que les technologies “à grande échelle” - comme l’énergie nucléaire, par exemple.Qu’on ne s’y trompe pas : ceci n’a rien d’un caprice. 😈 Le rapport du GIEC souligne le rôle crucial joué par ces technologies, en vue d’accélérer le changement vers un modèle bas-carbone dans le plus grand nombre de pays possible.En fait, cela semble tout à fait logique : « l’ampleur du défi de mise à l’échelle accroît l’importance du développement et de l’adoption rapides de ces technologies ».&nbsp;En bref, cela signifie que les pays développés doivent inclure les pays en développement dans « un flux mondial accru de connaissances, de compétences, d’expérience, d’équipement et de technologie ». Un objectif ambitieux, qui implique un soutien financier, institutionnel et de renforcement des capacités.D’un mot : serrons-nous les coudes ! 💚‍<figure id="" class="w-richtext-figure-type-image w-richtext-align-center" data-rt-type="image" data-rt-align="center"><div id=""><img src="https://uploads-ssl.webflow.com/6232f79b68d15d3d9b69c096/627be3d573411bd3e52826ae_GGDVBowYwrIwtF70pDIYBQ7Gg1qThjVnWBTRg9W3IXcLqO43ENeF1iZuhRnZ8w40WvZXcpgWb7itnSZT3ysZ_KV4ty0ngbj7UBYg715IyLyN0d8azWvavc5jcFiFEwKmA7LO9m91xR0rjL1ZFw.gif" width="auto" height="auto" loading="auto" id=""></div></figure>‍<h2 id="">👀 Que faut-il retenir de ce Chapitre 2 ?</h2>Pour faire simple, on observe des améliorations... Mais aussi des reculs. (“Ça s’en va et ça revient…” 🎵)Oui : nos émissions de CO2 diminuent sensiblement à certains endroits et dans certains domaines. Mais le phénomène est trop lent et non universel. Quand on sait qu’il ne nous reste que trois ans pour maintenir un avenir “vivable”, c’est peu dire qu’il y a pourtant le feu au lac… 🔥D’autre part, il apparaît de plus en plus clair que si nous voulons enrayer la catastrophe, les pays développés doivent faire des efforts pour soutenir le développement durable (et technologique) des pays les plus pauvres.&nbsp;‍<h2 id="">🌱 Agissez dès maintenant !&nbsp;</h2>Contribuez à l’effort collectif en réalisant le bilan carbone de votre entreprise. <a href="https://www.greenly.earth/fr-fr/demo" id="">Nos experts</a> attendent votre appel. 📞‍‍🚀 Pour aller plus loin :<ul id=""><li id=""><a href="https://www.greenly.earth/blog/3-conseils-a-appliquer-pour-atteindre-le-net-zero?98dbe491_page=2" id="">3 conseils à appliquer pour atteindre le Net Zero</a></li><li id=""><a href="https://www.greenly.earth/blog-fr/giec-2022-5-questions-pour-comprendre-le-chapitre-1" id="">GIEC 2022 : 5 questions pour comprendre le Chapitre 1</a></li><li id=""><a href="https://www.greenly.earth/blog/label-vert-et-nucleaire-greenwashing-ou-veritable-avancee?98dbe491_page=2" id="">Label vert et nucléaire : greenwashing ou véritable avancée ?</a></li><li id=""><a href="https://www.greenly.earth/blog/demarche-rse-entreprise?98dbe491_page=2" id="">Pourquoi et comment s'engager dans une démarche RSE</a></li><li id=""><a href="https://www.greenly.earth/blog/comment-devenir-une-entreprise-a-mission-en-2022?98dbe491_page=2" id="">Comment devenir une entreprise à mission en 2022 ?</a></li></ul>‍

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